Emilie Zanola - Auteur de Voyageurs, la cité des rêves
Quelques questions sur vous et l’écriture.
- Présentez-vous en quelques mots :
Je suis une rêveuse compulsive de 30 ans, fraichement passionnée par l’écriture fantastique.
- Parlez-nous de votre dernier ouvrage :
Le roman Voyageurs, la cité des rêves est sorti tout droit de mes songes. Il raconte l’histoire de Liana, une jeune étudiante en psychologie qui va rencontrer les inconnus de nos rêves. Elle va vivre une aventure onirique palpitante, troublante et semée d’embûches.
- Depuis quand écrivez-vous :
J’écris depuis cinq ans. J’avais envie de lire un roman qui ne pouvait pas me décevoir et je l’ai écrit.
8) Avez-vous d’autres projets d’écriture ?
Oui, j’ai d’autres projets d’écriture, dont la suite de Voyageurs. Le reste est pour le moment secret.
9) On dit souvent que l’auteur « fait passer un message » : est-ce le cas pour vous ? Si oui, quel est ce message ?
Oui, méfiez-vous de vos rêves, n’importe qui peut y entrer. Non, plus sérieusement, j’aimerais que les lecteurs prennent conscience de ce qui se passe sur leur oreiller, tout comme moi, et ainsi vivre Voyageurs à fond.
11) Comment s’est fait le choix de votre maison d’éditions ?
VFB Editions était la seule qui fonctionnait au coup de cœur sans me parler de chiffres de vente irréalistes. Et je ne me suis pas trompée. Bien qu’elle soit tout numérique, elle se bat pour ses auteurs qui sont tous fantastiques.
Quelques questions sur vous et la lecture
- Qui vous a fait aimer la lecture/l’écriture
Petite, je détestais lire, sauf « le club des cinq ». C’est en rencontrant un lecteur passionné que j’ai appris à aimer lire. Il me proposait des livres adaptés à mes goûts, à mon âge. Pour l’écriture, c’est étrange, c’est un livre en vogue qui m’a poussée. Il manquait beaucoup de chose à l’histoire pour qu’elle me plaise complètement, c’est pour cela que j’ai voulu avoir mon histoire.
3) Quel type de lecteur êtes-vous ?
Je suis une lectrice modérée. Arriver à concilier vie privée, écriture et lecture est assez compliqué, je ne lis donc que les romans qui m’attirent.
- Qu’aimez-vous lire ?
Je ne lis que des romans/nouvelles fantastiques, j’ai besoin de rêver même la journée ;-)
Quelques questions sur les blogs et tout le reste…
- Que pensez-vous des blogs littéraires ?
Je les adore, j’en suis un paquet, je pioche dans ces derniers mes envies lectures. Ils sont utiles et permettent aux auteurs d’avoir une certaine visibilité ou crédibilité (ou pas) sur le net.
- Que pensez-vous de mon blog en particulier et quel est pour vous l’intérêt de répondre à ce petit questionnaire.
J’aime les avis, ils sont francs, clairs, ni trop courts, ni trop longs. Le fond est aussi agréable. J’aime les couleurs choisies, on se sent bien. Je réponds à ce petit questionnaire pour la simple et bonne raison que vous êtes le premier blog à avoir fait le service presse de Voyageurs, alors j’accepte avec plaisir de répondre à vos questions. Et chaque interview est une bonne publicité pour mon roman, ma maison d’éditions et parce que ça me fait plaisir de raconter ma vie.
- Comment gérez-vous les critiques des lecteurs de blogs qui ne sont pas des spécialistes ?
Je n’accorderais pas plus d’importance à un critique littéraire connu qu’un bloggeur. Chaque avis compte pour la simple et bonne raison que chacun de mes lecteurs m’aide à progresser. Je n’ai eu qu’une critique semi-négative, on ne peut pas plaire à tous, mais j’ai écouté ses doléances et j’ai rattrapé le jeu dans le tome 2. Le bloggeur lit par plaisir.
- Si vous deviez remercier un professeur que vous avez eu : ce serait qui et pourquoi ?
Ce serait ma prof d’italien au lycée, Mme Guiso. Elle m’a fait aimer cette langue, ce pays dont j’ai des origines. Grâce à elle vous voyagez en Italie avec moi dans le tome 1 et on remettra ça dans le tome 2. On m’a souvent dit que c’était la partie la plus réussie de mon histoire.
- Que pensez-vous du boom des éditions numériques ?
Etant un e-auteur, je ne peux qu’en penser du bien. Acheter un roman à n’importe quelle heure pour quelques euros, ça me plait (je ne parle pas des éditeurs papiers qui se mettent au numérique sans baisser correctement leur prix). Sans compter la place gagnée et les belles découvertes que l’on peut faire uniquement sur internet.
6) Quels conseils donneriez-vous aux jeunes écrivains ?
Je ne suis pas à même de conseiller n’ayant pas une grande expérience de l’écriture. Je peux seulement leur dire de continuer de rêver, d’écrire chaque jour. On a tous un potentiel lorsqu’on fait quelque chose par amour. Et puis, toujours remercier ceux qui ouvrent leurs portes, alors MERCI Le blog Littérature et Français !