Rousseau - Les reveries du promeneur solitaire (18e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

Les rêveries du promeneur solitaire de Rousseau.

Personnages principaux :

  • « Je » = Jean-Jacques Rousseau
  • Mme d’Ormoy
  • Marion
  • M Foulquier

Résumé par promenades

1er promenade : Rousseau a été comme exclu de la société. Il dit qu’ils lui ont fait du mal. Qui est – « ils » ? Les acteurs de la société ? Il explique que les Confessions étaient écrites pour le public mais qu’il sait qu’il n’en aura plus. Il écrit ses rêveries pour avoir quelqu’un avec qui discuter : son âme.

2e promenade : Rousseau a un accident. Il ne se souvient de rien. Une certaine Mme d’Ormoy lui rend régulièrement visite. Rousseau comprend et lui répond qu’il ne reçoit pas d’auteur chez lui.

3e promenade : Il parle du fait que Solon voulait encore apprendre en vieillissant. Lui a tout arrêté à 40ans : il s’est retiré du monde et ne veut plus apprendre car il ne veut pas ne pas savoir correctement. Ses connaissances ont souvent été ébranlées mais n’ont jamais changé.

4e promenade : Le thème de cette promenade est le mensonge. Il en distingue deux sortes : le véritable mensonge utile et la fiction (mensonges que l’on trouve dans les romans) Il donne des exemples de ses vérités ou mensonges. Il dit des choses qu’il n’a pas dites dans ses Confessions. Il dit qu’en fait même en vieillissant on peut apprendre grâce à ses ennemis à être sage, vrai, modeste et à moins présumer de soi.

5e promenade : Il nous décrit un lieu magnifique où il peut laisser libre cours à ses rêveries. Malheureusement, ce lieu ne peut pas être une retraite éternelle. Il ajoute que tout le monde n’a pas l’âme pour profiter d’un tel endroit.

6e promenade : Rousseau partage sa vie en deux périodes : celle où il était libre et celle où il était sous le joug des hommes. La première était heureuse et il était bon contrairement à la seconde où il se dit nul. Pour lui, la liberté ce n’est pas faire ce qu’on veut mais avoir la force de ne pas faire ce qu’on ne veut pas faire. Il avoue ne pas avoir fait beaucoup de bien mais il n’a pas fait de mal non plus.

7e promenade : Rousseau se met à la botanique ou plutôt à l’observation. Il critique l’utilisation des plantes pour la médecine ou du moins le fait que tout est fait par intérêt. Il a un herbier qui lui rappelle de bons souvenirs : cela le rend très heureux.

8e promenade : Il est heureux dans sa misère et n’envie pas les autres hommes car quand il était comme eux, il sait qu’il lui manquait quelque chose pour être heureux. Malgré tout ce que lui font subir les hommes, il reste lui-même et ne changera pas. Il n’a peur que d’une chose : c’est que son bonheur soit troublé.

9e promenade : Il s’explique car on lui reproche implicitement d’avoir mis ses enfants aux Enfants-Trouvés. Il dit qu’il aime les enfants et il donne des exemples. Ces exemples le conduisent à prouver qu’il est bon avec tout le monde ou du moins qu’il essaye de l’être. Il aime les Invalides. Ils ne le lui rendent pas.

10e promenade : La rencontre avec Madame de Warens est la plus belle chose qui lui soit arrivé. Elle a déterminé sa vie. Il a vécu heureux avec elle. Il a découvert que le calme et la paix était son bonheur.

Publié dans 18e siècle

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