Rousseau - Lettre à D'Alembert (18e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

Lettre à d’Alembert de Rousseau

Personnages principaux

  • Rousseau
  • D’Alembert
  • Habitants de Genève
  • Les Montagnards

Résumé

            Eloge de D’Alembert mais Rousseau a quand même des devoirs. Il cite ce pour quoi il écrit.

            Il ne peut pas se taire après ce qu’il a déjà fait, il faut parler au public.

            Il ne veut pas ressembler aux hommes mauvais.

            Il y a plusieurs points à expliquer : le premier sujet est celui des ministres qu’il a nommé « secte ».

            Eloge à Dieu ? Un éloge peut entraîner une accusation.

            Il faut juger les actions et non la foi.

            La douceur et l’humanité sont les vertus du chrétien. Le théâtre est jugé par rapport à des préjugés.

            Le théâtre est un lieu où l’on s’isole.           

            Il faut quelque chose favorisant les pendants et non les modérants. La raison est inutile sur scène.

            Le théâtre change avec le temps.

            Il refuse l’idée que le théâtre guérit les passions en les excitant.

            Après la pièce, est-on décidé à changer ? Le seul purgatoire est la raison.

            Le bien et le mal n’est pas découvert sur scène.

            Pour lui, l’homme est né bon.

            On ne corrige pas, on peint les mœurs même pas pour les changer. Il n’y a pas de perfections des spectacles.

            Les anciens savaient exercer l’humanité.

            Aucune utilité car trop idéalisé pour la tragédie.

            La passion rend l’homme faible.

            La morale du monde a d’autres maximes.

            Image du vice choque moins que la pudeur offensée.

            Certaines passions satisfaites sont plus intéressantes que la vertu !!

            Il ne veut pas juger de l’amour au travail.

            Il faut trouver l’art de changer l’opinion publique.

            Seuls les Grecs avaient un « bon » théâtre.

            Accepte un théâtre seulement si le bien surpasse le mal.

Publié dans 18e siècle

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