Je suis contente de finir l'année sur ce deuxième tome.
J'ai retrouvé avec joie Gus et Cés qui est vraiment mon personnage préféré, son autisme est une réelle force et je trouve que ses réflexions sont très profondes.
L'action de ce deuxième tome est toujours présente même si atténuée par les conséquences du tome 1.
J'ai vraiment hâte de lire le troisième volet pour voir comment ça va se finir.
Je conclurai ce bref avis en disant qu'il s'agit d'une très bonne saga adolescente !
Pour commencer je remercie les éditons Calepin pour leur confiance et ce partenariat.
Ce roman c'est l'histoire d'Alex et Scooty qui découvrent que leur père leur a laissé un héritage compliqué à gérer à sa disparition. Tout cela se passe dans un monde où les règles ont bien changé...
Alors c'est un bon roman adolescent : il y a de l'action, des bons sentiments. Il est cohérent et correspond aux attentes d'un public adolescent mais j'avoue que pour ma part je l'ai parfois trouvé un peu simpliste sur certaines choses malgré une fin et certains passages d'une violence émotive rare mais nécessaire !!
Concernant le style, il est fluide et accessible à tous, il reste encore quelques coquilles parfois gênantes au fil des pages.
Pour conclure, il s'agit d'une bonne lecture adolescente qui permet de passer un bon moment sans prise de tête.
J'avoue avoir acheté le livre sans même ciller, le nouveau Legardinier, je ne pouvais pas passer à côté...
Et me voilà vraiment déçue pour la première fois... Je n'ai même pas réussi à le finir en un mois...
Je n'ai malheureusement pas réussi à entrer dans l'histoire, bien trop longue à se mettre en place. De même je n'ai pas retrouvé cette pointe d'humour dans l'écriture, cette pointe d'émotion que me fournit d'habitude l'auteur...
Après presque un mois à essayer de m'accrocher, j'abandonne... Moi qui ne pouvait pas lacher un Legardinier sur celui-ci y revenir était presque une corvée !
Bon on ne va pas se cacher que j'ai toujours aimé ce genre de roman et que je ne pouvais donc pas passer à quoi du nouveau Dan Brown...
Toujours avec le même personnage - il en a vécu des choses le pauvre - Robert Langdon qui utilise sa connaissance des signes religieux pour résoudre une énigme... Cette fois-ci l'énigme est donné par son ami Edmond Kirsch futurologue qui prétend détruire les religions...
Alléchant n'est ce pas ? Je ne vous le fais pas dire... D'ailleurs 24h pour un pavé de 554 pages ça ne trompe pas ! J'aime toujours autant me plonger dans les livres de cet auteur c'est quand même une valeur sûre... ou presque.
Bon parlons de ce roman ! Origine est peut-être le plus scientifique de tous, trop même pour moi qui me suis parfois un peu perdue, j'ai perdu l'aspect artistique et symbolique que j'aimais dans les autres oeuvres... De plus et là ô rage ô désespoir j'avais compris certaines choses bien avant la fin !! Trop d'indices ? Trop prévisible je ne sais le dire...
Bon si je devais conclure, on va toujours de rebondissements en aventures, il y a toujours des références artistiques, de magnifiques descriptions (ici de l'Espagne) mais ce n'est pas le coup de coeur attendu !
Je tiens tout d'abord à remercier l'auteur et le service presse pour leur confiance...
J'avoue avoir d'abord été un peu sceptique en lisant la 4e de couverture... et je me suis laissée tentée par ce petit truc en plus inexplicable.
Les Affamés c'est l'histoire de Bérénice et Roméo, musiciens rock, qui croquent la vie à pleines dents... Ce roman n'est pas seulement celui d'une histoire de coeur, c'est une réflexion sur le quotidien, sur ceux qu'on juge ou pas, sur ce qu'on aime ou pas....
Ce roman c'est un appel à la vie, qui se finit avec un événement qui nous a tous marqués, un moment abominable de nos vies à toutes et tous et qui marque un nouveau début...
Ce roman c'est des jeunes gens qui veulent vivre dans une société formatée et qui sont affamés : de sexe, de musique, de drogue, d'alcool... Qu'on approuve ou non c'est clairement un appel... A chacun d'y voir l'appel qu'il veut...
Concernant le style, il est fluide et agréable mais le texte a besoin d'une bonne relecture, il reste énormément d'erreurs qui ne sont pas des coquilles (des imparfaits au lieu d'infinitifs et inversement, des mots qui manquent...)
Pour conclure, j'ai passé un agréable moment avec ce texte, mais n'étant ni fan de musique ni très fêtarde, je ne me suis peut-être pas autant investie dans l'histoire que d'autres pourraient le faire..
Je m’appelle Melissa Scanu, j’ai trente ans et je vis au bord de la mer dans le Nord-Pas-de-Calais. J’écris depuis toujours, notamment du fantastique et de la romance, et m’apprête à être publiée pour la première fois à compte d’éditeur. 2. Parlez-nous de votre dernier ouvrage.
Autre jour, autre endroit n’est pas le premier roman que j’ai écrit mais le premier à être publié. Sa sortie est prévue pour le 20 novembre 2017 aux éditions Gloriana. C’est une romance contemporaine où les deux protagonistes se rencontrent dans un aéroport, chacun partant dans des endroits différents pour une année. Ayant chacun le sentiment que cette rencontre n’est pas le fruit du hasard, ils décident de se donner rendez-vous l’année suivante dans ce même aéroport. Mais rien ne se passera comme prévu… 3. Depuis quand écrivez-vous ?
Aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours écrit. Mes premières histoires doivent remonter au CE1 je pense. 4. Que vous apporte l’écriture ?
Ecrire est un véritable besoin, et aussi naturel que n’importe quelle activité quotidienne comme manger ou dormir. L’écriture me permet de donner vie à toutes les histoires qui se jouent dans ma tête, d’animer des personnages qui finissent par devenir aussi réels et précieux que des amis, et de laisser mon imagination s’exprimer, tout simplement. 5. Dans quelle condition écrivez-vous ?
Généralement avec mon ordinateur sur mes genoux, installée sur mon canapé avec un thé et un fond sonore qui m’inspire, plutôt le matin ou l’après-midi. Mais il m’arrive de noter des idées ou même des paragraphes ou des dialogues n’importe quand et n’importe où, sur mon smartphone. 6. Quelle est votre source d’inspiration ?
Ma vie quotidienne, mon environnement, mon travail, mes proches, mes voyages, une anecdote entendue, un film visionné, une musique… Un rien est susceptible de m’inspirer, si j’ai l’esprit suffisamment ouvert et détendu à ce moment-là pour accueillir les idées. 7. Etes-vous écrivain à part entière ou exercez-vous une profession à coté ? si oui laquelle ? Que vous apporte-t-elle par rapport à votre travail d’écrivain ?
Je suis professeur d’anglais et le choix de ce métier dans le cadre de mon écriture n’est pas anodin. Au-delà du fait qu’il a nécessité des études littéraires, lesquelles m’ont considérablement aidée pour améliorer mon style et élargir ma culture littéraire, elle a plusieurs avantages. Le temps libre, notamment les vacances, est une véritable bénédiction pour me laisser le temps d’écrire. Et comme je travaille avec des adolescents (ma tranche d’âge fétiche dans mes écrits), c’est une belle source d’inspiration. 8. Avez-vous d’autres projets d’écriture ?
J’en ai beaucoup, dont des ouvrages déjà terminés et qui cherchent un éditeur, chose qui prend souvent du temps. 9. On dit souvent que l’auteur « fait passer un message » : est-ce le cas pour vous ? Si oui quel est ce message ?
Je n’écris pas pour faire passer un message. Il est évident et sans doute naturel que certaines de mes propres valeurs et convictions se ressentent dans mes écrits, mais ce n’est vraiment pas primordial. Je ne suis pas journaliste ou auteur d’essais par exemple, j’écris de la fiction, ce pour me divertir et divertir mes lecteurs, et c’est le plus important avant tout. 10. Si vous deviez changer quelque chose dans votre carrière d’écrivain, ce serait quoi ?
Changer n’est pas le mot, mais pour la débutante que je suis, puisque je m’apprête à être publiée pour la première fois, j’aimerais simplement évoluer. Gagner en expérience, en visibilité, et continuer à m’améliorer évidemment. 11. Comment s’est fait le choix de votre maison d’édition ?
J’en ai deux, actuellement. Gloriana pour Autre jour, autre endroit, et Plume Blanche pour Seirens dont le premier tome sortira en janvier 2019. Ces jeunes maisons d’éditions dynamiques correspondaient aux genres de mes romans (romance pour le premier, fantastique pour le second), offraient ce que je souhaitais en terme de contrat et de visibilité, et le courant est bien passé avec les deux éditeurs qui croyaient en mes livres. Donc cela s’est fait naturellement.
Quelques questions sur vous et la lecture 1. Qui vous a fait aimer la lecture/ l’écriture ?
Sans doute ma mère, qui m’a mis entre les mains les romans de la Comtesse de Ségur alors que je savais à peine lire. Ont suivi les livres jeunesse de la bibliothèque rose et verte, les romans de Roald Dahl et tant d’autres… Je n’ai bientôt plus pu m’arrêter de lire. L’écriture est venue naturellement, très jeune, nourrie de mes lectures et de ma propre petite vie d’enfant, d’où des textes très naïfs évidemment ! 2. Quel est votre auteur préféré en dehors de vous-même bien sûr ! ?
Je n’ai jamais su répondre à cette question ! Comme pour les films, les chansons ou encore les plats, la réponse varie très régulièrement, selon la période et mon humeur du moment. Mes basiques sont Jane Austen, Charlotte Brontë, J.M. Barrie, J.K. Rowling, Roald Dahl, Frances Hogdson Burnett mais tant d’autres aussi. 3. Quel type de lecteur êtes-vous ?
Je ne lis plus autant que ce que je lisais à une époque, faute de temps avec l’écriture, le travail et ma vie en général, mais j’ai toujours au moins une lecture en cours. 4. Qu’aimez-vous lire ?
Je suis bon public, et plutôt ouverte à tout, mais mes genres de prédilection sont le fantastique, notamment la high fantasy, la dystopie, et la littérature young-adult ou new adult en général. J’aime aussi un bon petit roman de chick-lit de temps en temps. Je lis dans le même genre que ce que j’écris, finalement.
Quelques questions sur les blogs et tout le reste … 1. Que pensez-vous des blogs littéraires ?
Je trouve cela formidable et je regrette que le manque de temps ne me permette pas de passer beaucoup de temps sur la blogosphère actuellement. J’ai longtemps été moi-même blogueuse culinaire et j’avoue que quand on s’investit, c’est quasiment un travail à temps plein. Mais j’en suis quelques-uns, c’est très agréable pour lire de nouvelles critiques de romans et de nouvelles idées de livres à lire, des conseils en matière de lecture ou d’écriture, et découvrir de belles personnalités derrière le blog. 2. Que pensez-vous de mon blog en particulier et quel est pour vous l’intérêt de répondre à ce petit questionnaire ?
Je ne le connais pas encore dans les détails, ce qui ne saurait tarder, mais j’aime beaucoup ce qu’il dégage au niveau du fond comme de la forme. Et sa richesse au niveau des thèmes explorés (littérature, monde de l’édition, chroniques, interviews d’auteurs, langue française, etc.) fait qu’il semble complet et très intéressant. Et comme je connais un peu la personne derrière, c’est encore plus sympa ;) J’espère gagner un peu de visibilité grâce à cette interview. 3. Comment gérez-vous les critiques des lecteurs de blogs qui ne sont pas des spécialistes ? (critique positive et négative) ?
Je n’ai pas encore eu à y faire face mais j’ai l’intention de prendre bonne note de chaque critique (constructive) qu’elle soit positive ou négative et de garder l’esprit ouvert. 4. Si vous deviez remercier un professeur que vous avez eu : ce serait qui et pourquoi ?
Honnêtement, aucun de mes enseignants du secondaire n’a joué un rôle clé dans ma décision de devenir écrivain (même si certains m’ont marquée positivement pour d’autres raisons, notamment leur aura positive et leur bienveillance). En revanche je remercie mes professeurs d’université qui m’ont beaucoup appris à ce niveau-là et aidée à me dépasser et à sortir de ma naïveté littéraire d’adolescente. 5. Pensez-vous que les jeunes ne sont plus capables d’apprécier la lecture ? Quels remèdes proposeriez-vous ?
En tant qu’enseignante, je suis la première à déplorer le fait que les jeunes ne lisent plus (ce qui se ressent cruellement dans leur façon d’écrire). La société dans laquelle nous évoluons, entre télévision et médiaux sociaux omniprésents, y est pour beaucoup. Les enseignants font ce qu’ils peuvent pour redonner le goût de la lecture aux enfants et aux adolescents, mais pour moi, la source devrait déjà venir du foyer familial. Je pense que les parents, qu’ils soient eux-mêmes lecteurs réguliers ou non, devraient initier leurs enfants à la lecture. Leur lire des histoires quand ils sont petits, leur mettre des livres entre les mains dès qu’ils en ont l’âge, les inscrire dans une médiathèque… Sans leur mettre la pression ni vouloir leur imposer des classiques dès leur plus jeune âge, mais juste leur proposer de la lecture, n’importe quoi qui les divertisse, même des BD… Cela leur apportera tellement, que ce soit dans leur rapport avec la langue française, leur culture, leur ouverture sur le monde, le développement de leur imagination… 6. Que pensez-vous du boom des éditions numériques ?
Je pense qu’elle est normale et justifiée, quand on considère la place qu’Internet a pris dans nos vies quotidiennes. Le développement des e-books en a découlé naturellement. Pour moi, c’est une bonne chose. C’est pratique et cela peut motiver certaines personnes à lire davantage, mais pour moi, l’édition numérique est complémentaire à l’édition papier traditionnelle (qui lui reste supérieure), et ne devrait pas prétendre à vouloir la remplacer, contrairement à ce que certains éditeurs (uniquement numériques) clament. Le livre en tant qu’ouvrage et bel objet est trop précieux et ancré dans notre Histoire pour disparaître ou être relégué à la seconde place, et c’est pour cela qu’en tant qu’auteur j’ai refusé tout contrat d’édition ne proposant que des publications numériques.
7. Quels conseils donneriez-vous aux jeunes écrivains ?
De se lancer, tout simplement. C’est normal de douter, de se décourager parfois, ou même d’abandonner. Mais quand l’envie d’écrire est présente malgré les difficultés, il faut s’accrocher, persévérer et croire en soi pour mener ses projets à bien. Tout en gardant l’esprit ouvert et en se disant qu’écrire, cela s’apprend, et se développe tout au long de la vie, mais il faut oser et travailler pour y arriver. Lire, développer ses idées, faire des recherches, se faire relire par des personnes critiques mais bienveillantes, et bien sûr, écrire !
La parole est à vous : Une dernière phrase ? pensée ? critique ? N’hésitez pas à visiter et commenter mon site (http://www.melissascanu.com), à liker ma page Facebook auteur (https://www.facebook.com/ScanuMelissa/) et bien sûr achetez mon livre Autre jour, autre endroit qui sortira le 20 novembre (sur Amazon ou dans n’importe quelle librairie à la demande) ;)
Tout le monde n'a pas le destin de Kate Middleton de Fred Ballard
Toujours dans mon défi zéro achat je continue à vider ma PAL...
J'aime bien la collection Piment de chez France Loisirs, ce sont toujours des romans agréables sans prise de tête !
Nous voici dans une année de la vie de Capucine, mère célibataire de trois enfants de trois pères différents qui doit gérer travail, vie de famille et complications...
Il s'agit d'un bon petit roman de chick-lit dans lequel le personnage attachant vit de nombreuses aventures rocambolesques mais plutôt drôles. Bon je n'ai pas ri à gorge déployée certes mais parfois j'ai souri.
Le style est léger, sans fausse note. De quoi passer un bon moment !
Pour conclure, une lecture qui ne laissera pas une trace indélébile mais qui permet d'oublier un peu le quotidien !
Valentine et Anthony se rencontrent par hasard à l'aéroport Charles de Gaulle à Paris. En attendant chacun leur avion, ils se mettent à discuter et la complicité s'installe immédiatement. En quelques heures à peine, ils se sentent si proches qu'ils décident de se revoir. Mais ils se sont chacun engagés pour l'année à venir : Valentine part un an aux Etats-Unis pour ses études tandis qu'Anthony s'envole pour l'Italie où va effectuer une saison dans un grand restaurant. Pris d'un élan romantique un peu vieux jeu, ils décident de se donner rendez-vous dans un an, même jour et même endroit, sans échanger leurs coordonnées. Un an plus tard, aucun des deux n'est au rendez-vous. Anthony est coincé en Belgique pour un impératif familial, tandis que Valentine, ayant pris autant de kilos que de mois passés à l'étranger, a honte de revoir Anthony ainsi, de peur qu'il ne soit déçu. Persuadé que l'autre l'a attendu à l'aéroport, chacun va tenter de rattraper le rendez-vous manqué : Anthony tâchera de retrouver la trace de Valentine sur Internet tandis que Valentine se décidera à reprendre son corps et sa vie en mains avant de partir en Italie... Entre quiproquos, voyages, obligations et gastronomie, l'acquisition du bonheur sera ardue.