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17e siecle

Molière - Le misanthrope (17e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

Le misanthrope de Molière

Personnages principaux

  • Alceste
  • Oronte
  • Philinte
  • Célimène
  • Eliante
  • Arsinoé
  • Acaste
  • Clitandre
  • Le Basque
  • Du Bois

Résumé par actes

Acte 1 : Alceste reproche à Philinte son hypocrisie liée à sa place dans le monde. Alceste est moqué à cause de sa misanthropie. Il est amoureux de Célimène ce qui surprend Philinte car celle-ci vit à la mode de la cour. Alceste est persuadé d’être aimé d’elle. Oronte vient présenter ses amitiés à Alceste qui est tout étonné car ils ne se connaissent pas. Oronte lui présente son sonnet qu’Alceste dit détester alors que Philinte feint de l’admirer. La franchise d’Alceste a-t’elle brisé leur future amitié ? Philinte reproche à Alceste son attitude. Alceste ne veut plus avoir de compagnie, il ne veut plus rien entendre.

Acte 2 : Alceste dit à Célimène de changer de comportement car elle reçoit trop bien tous ses amants. Elle lui dit que sa façon d’aimer est surprenante car il cherche sans arrêt les disputes. Célimène accepte de recevoir Acaste ce qui déplait à Alceste. Elle s’inquiète de son image dans le monde et Acaste y est important. Le Basque annonce l’arrivée de Clitandre. Alceste préfère s’en aller malgré l’insistance de Célimène pour qu’il reste. Alceste veut quitter Célimène à cause de son défaut : elle médit sur tout le monde à cause des flatteurs. Les autres personnes tentent de lui montrer que, lorsqu’on aime, on aime aussi les défauts de l’autre. Alceste refuse de partir avant les autres hommes présents. Le Basque annonce à Alceste qu’un homme veut le voir pour affaires. Les gardes viennent chercher Alceste pour régler l’affaire des vers d’Oronte. Il jure qu’il ne changera pas d’avis. Tout le monde lui dit  d’aller où il est attendu.

Acte 3 : Clitandre demande à Acaste les raisons de sa bonne humeur. Celui-ci se vante de tout avoir pour lui et qu’il n’a donc aucune raison d’être triste. Ils sont rivaux pour prendre le cœur de Célimène mais jurent que si elle fait son choix, ils laisseront la place au choisi. Célimène s’étonne que Clitandre et Acaste soient toujours là. Arrivée d’un carrosse. Le Basque annonce l’arrivée d’Arsinoé connue dans le monde pour être prude. Célimène la dit jalouse, seule et impertinente. Elle n’est pas enchantée de sa présence. La conversation, d’abord charmante, entre Célimène et Arsinoé tourne en règlement de compte. Elles se détestent. Célimène laisse Arsinoé avec Alceste. Arsinoé se dit inquiète pour Alceste car celle qu’il aime ne lui est pas fidèle. Il n’est pas traité à sa juste valeur d’après elle. Il ne peut croire que ce qu’il voit, c’est pourquoi Arsinoé lui promet des preuves s’il l’accompagne.

Acte 4 : Eliante et Philinte parlent d’Alceste et de son caractère. Eliante l’apprécie mais accepte de ne pas être aimé de lui. Philinte est-il amoureux d’Eliante ? Alceste annonce à Philinte et Eliante l’infidélité de Célimène dont il a la preuve : une lettre écrite à Oronte. Il veut se venger en offrant son cœur à Eliante et en lui promettant d’être constant. Alceste exprime sa colère à Célimène et lui annonce la fin de leur relation mais celle-ci, par ruse ou par amour, réussit à le convaincre de son innocence et il veut rester auprès d’elle malgré quelques doutes subsistants. Du Bois dit à Alceste qu’il doit quitter les lieux. Celui-ci refuse sans savoir pourquoi ? Du Bois pense que c’est à cause du procès mais il oublie la lettre qui expliquait tout. Alceste va éclaircir cette affaire.

Acte 5 : Alceste, qui a perdu son procès à cause de son honnêteté, décide de se retirer du monde car il ne supporte plus l’hypocrisie. Il n’attend que le soutien de Célimène comme preuve de son amour. Philinte n’arrive pas le faire changer d’avis. Oronte et Alceste en ont assez du jeu de Célimène. Ils lui demandent de choisir entre eux. Elle ne veut pas choisir en donnant toutes sortes d’excuses plus ou moins plausibles. Ils insistent pour savoir, ce qui agace Célimène. Célimène demande son aide à Eliante qui refuse de prendre parti. Les deux hommes la pressent de faire son choix. Tous les amants de Célimène ont découvert sa fourberie et ses traitrises. Seul Alceste lui laisse une chance, si elle vient avec lui dans le désert où il veut se retirer, il la pardonnera. Elle refuse. Il ne peut pas se donner à Eliante ca elle ne le mérite pas. Celle-ci dit qu’elle aime Philinte. Alceste part pour se retirer. Philinte, son ami, veut l’en empêcher.

Publié dans 17e siècle

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Molière - Le bourgeois gentilhomme (17e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

Le Bourgeois gentilhomme de Molière

Personnages principaux

  • M Jourdain
  • Mme Jourdain
  • Lucile
  • Nicole
  • Cléonte
  • Covielle
  • Dorante
  • Dorimène
  • Le maitre de musique
  • Le maitre à danser
  • Le maitre d’armes
  • Le maitre de philosophie
  • Le maitre tailleur
  • Garçon tailleur
  • Elève du maitre de musique
  • Deux laquais

Résumé par actes

Acte 1 : Le maitre de musique et le maitre à danser parlent de M Jourdain. Celui-ci a de l’argent mais n’a aucun gout en art ce qui gêne plus le maitre à danser qui aspire à une vraie reconnaissance. Jourdain arrive. Il est surtout là pour exposer sa richesse, plus que pour la musique et la danse auxquelles il ne comprend rien. Les maitres lui prouvent l’importance de la musique et la danse dans la vie d’un riche bourgeois.

Acte 2 : Jourdain n’a aucune opinion : il accepte tout ce que les maitres disent à condition que « les gens de qualité » fassent pareil. Il est toujours ridicule. Il veut un ballet magnifique pour Dorimène qu’il a invitée à diner. Séance avec le maitre d’armes. Tous flattent sans arrêt M Jourdain. Il y a querelle entre les différents maitres sur l’importance de leur discipline. Jourdain ne parvient pas à les calmer. Le maitre de philosophie tente de calmer le jeu mais veut imposer son domaine comme le  plus important. M Jourdain ne tente pas de s’interposer dans la bagarre pour ne pas déchirer sa nouvelle robe et ne pas se faire mal. Le maitre de philosophie cherche quoi enseigner à M Jourdain. Il choisit l’alphabet. M Jourdain s’extasie de tout. Il ne veut pas apprendre ce qui est sérieux. Il veut écrire une lettre galante sans rien changer. Le maitre de philosophie est également un flatteur. Arrivée du tailleur. Des que M Jourdain sait que ceci est pour les gens de qualité, il accepte de tout mettre. Il paye les petits tailleurs qui lui donnent du « monseigneur », « gentilhomme ». Il aime être flatté.

Acte 3 : M Jourdain veut que toute la ville voie son nouvel habit. Nicole arrive et a un fou rire quand elle voit l’accoutrement de son maitre. M Jourdain n’apprécie pas et menace de la battre. Elle ne s’arrête de rire qu’au moment où elle apprend qu’il va y avoir de la visite. Mme Jourdain n’apprécie pas le comportement de son mari. Elle lui dit que tout le monde se moque de lui et que le fameux noble qui lui est si précieux ne le flatte que pour sa bourse. Dorante flatte M Jourdain pour récupérer de l’argent alors qu’il lui doit déjà 15000 livres. M Jourdain ne s’étonne pas du retard de payement. Seule Mme Jourdain n’est pas dupe mais elle ne peut pas arrêter son époux. Dorante parle avec Mme Jourdain, elle le remet poliment à sa place. Pourquoi veut-il voir la fille des Jourdain ? Dorante a convaincu la marquise dont Jourdain est amoureux de venir le voir. Mme Jourdain n’aime pas Dorante et envoie Nicole espionner ce qui se dit. Elle reçoit un soufflet de M Jourdain. Mme Jourdain dit à Nicole qu’elle sait qu’il y a anguille sous roche. Elle veut donner Lucile en mariage à Cléonte qu’elle apprécie. Nicole arrive auprès de Cléonte et Covielle et se fait brutalement repousser sans pouvoir délivrer son heureux message. Cléonte et Covielle sont en colère contre leur amante. Lucile s’est détournée de Cléonte ? Il ne veut plus l’aimer mais la trouve parfaite en tout. Lucile et Nicole veulent s’expliquer mais les deux hommes ne les écoutent pas. Puis les deux hommes veulent savoir et les deux femmes ne veulent plus rien dire. La situation finit par être réglée. Mme Jourdain dit à Cléonte de demander la main de sa fille à son époux. Cléonte fait sa demande. M Jourdain refuse car Cléonte n’est pas gentilhomme. Il veut faire de sa fille une marquise. Nouvelle querelle entre les époux. Mme Jourdain garde espoir et veut couper l’herbe sous le pied de son mari. Covielle reproche à Cléonte de ne pas avoir menti alors qu’il connait Jourdain. Il veut lui jouer une farce afin d’aider Cléonte. M Jourdain ne comprend pas les reproches de sa famille. Un laquais annonce l’arrivée du comte et de la marquise. Un laquais dit à Dorante et Dorimène que M Jourdain va arriver. On apprend que Dorante tente de séduire Dorimène en se servant des présents envoyés par Jourdain. Il l’a menée ici juste pour qu’elle accepte de le rencontrer. M Jourdain se ridiculise par ses excès à vouloir se faire passer pour noble. Dorante prend les choses en main afin de continuer à jouer double-jeu. Ils vont diner.

Acte 4 : Le diner a lieu. M Jourdain tente de faire de l’esprit. Dorimène accepte poliment. Dorante continue à jouer son rôle d’ami tout en séduisant Dorimène. Mme Jourdain interrompt le repas et lance ses accusations devant tout le monde. Dorimène décide de quitter les lieux. M Jourdain reproche à sa femme d’avoir fait fuir des gens de qualité. Elle lui dit ne pas s’en soucier, elle ne défend que ce qui lui appartient. M Jourdain se sentait d’humeur à dire de belles choses. Covielle, déguisé, fait croire à M Jourdain que son père était un gentilhomme et que le fils du Grand Turc veut épouser sa fille et faire de lui un grand de ce monde. La naïveté de M Jourdain est sans limite. Covielle joue l’interprète. Cléonte et lui ne parlent pas vraiment turc. M Jourdain se laisse berner sans la moindre difficulté. Covielle, une fois seul, se moque de la crédulité de M Jourdain. Dorante assiste à la mise en scène de Covielle et au ballet des Turcs qui font de Jourdain un grand homme. Celui-ci est effrayé par la cérémonie.

Acte 5 : Mme Jourdain pense que son mari est devenu fou à se prétendre « Mamamouchi ». Dorante dit à Dorimène qu’il faut soutenir Cléonte et toute la mascarade. Dorimène accepte et lui annonce qu’elle veut bien l’épouser avant qu’il ne se soit ruiné en présents pour elle. Dorimène et Dorante rendent leurs hommages à M Jourdain et son nouveau statut. Il fait encore de belles bêtises dans ses paroles. Dorante veut se présenter à Cléonte, toujours déguisé. Jourdain se ridiculise à nouveau en essayant de parler turc car l’interprète n’est pas là. M Jourdain demande à Covielle de présenter Cléonte. Tous se moquent de lui mais il ne s’en rend pas compte. Lucile refuse d’abord d’épouser l’homme que lui donne son père jusqu’à ce qu’elle reconnaisse Cléonte. M Jourdain ne s’étonne en rien du brusque changement d’avis de sa fille. Mme Jourdain veut s’interposer jusqu’à ce que Covielle lui explique la manigance. Dorante annonce qu’il va épouser Dorimène. M Jourdain croit à une ruse pour éviter la colère de sa femme. Tous apprécient le ballet final.

Publié dans 17e siècle

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Perrault - Riquet à la houppe (17e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

Riquet à la houppe de Perrault

Personnages principaux

  • Une Reine
  • Une Fée
  • Riquet
  • Une autre Reine
  • Une Princesse

Résumé

La Reine est affligée car elle a accouché d’un enfant laid. Une Fée la rassure, il aura beaucoup d’esprit. Il est surnommé Riquet à la houppe. La reine d’un autre voisin accouche d’une fille magnifique qui n’aura pas d’esprit. La fée qui avait déjà fait un don à Riquet promet qu’elle donnera sa beauté à celui qu’elle aimera comme Riquet donnera son esprit à celle qu’il aimera. La Princesse est plus bête de jour en jour et toutes les compagnies la délaisse au profit de l’esprit de sa sœur ce qui la rend triste. La Princesse rencontre Riquet. Il est amoureux d’elle. Il lui dit pouvoir résoudre son problème d’esprit. Il est prêt à la laisser réfléchir un an mais elle accepte de suite. Dès qu’elle promet à Riquet de l’épouser, elle devient très spirituelle : cela surprend toute la Cour. Tous les princes veulent alors l’épouser. Elle demande à son père le temps de la réflexion. La Princesse arrive à la veille des noces avec Riquet. Elle lui explique que sa laideur la retient. Il lui dit qu’il ne tient qu’à elle d’en faire quelqu’un de beau. Riquet devient un prince magnifique. Certains disent que c’est l’amour qui l’a transformé et non le don de la Fée. Le père de la Princesse accepte volontiers Riquet comme gendre. La première moralité confirme que lorsqu’on aime tout devient beau alors que la seconde dit que la beauté extérieure n’est pas suffisante.

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Perrault - Peau-d'Ane (17e siècle)

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Peau-d’Ane de Perrault

Personnages principaux

  • Un Roi
  • Une Reine
  • Une Princesse, Peau-d ‘Ane
  • Un Prince
  • La marraine Fée

Résumé

Le poète nous annonce qu’il va nous conter l’histoire de Peau-d ‘Ane afin de contenter notre esprit. Le Roi et ka Reine sont heureux et bons. Ils ont une fille pleine de vertus. Le Roi a beaucoup de richesses. Au milieu de son écurie, il y a un âne, celui-ci est magique. Il donne des louis d’or. Le Ciel ne laisse pas un bonheur sans fin. La Reine tombe malade et personne ne peut rien pour elle. La Reine sur son lit de mort demande son parole au Roi de ne se remarier que si la nouvelle est plus belle et a plus d’esprit qu’elle. Le Roi jure de ne jamais se remarier mais cela ne dure que quelques mois. Il doit trouver une femme qui est mieux que feu la Reine. La seule femme qu’il trouve est sa fille mais celle-ci pleure sans arrêt de ce choix. La Princesse va voir sa marraine la Fée pour trouver une solution. Celle-ci lui dit de demander à son père une robe de la couleur du Temps. Le père fait faire cette robe à ses tailleurs. La Princesse est désespérée. La marraine lui fait demander une robe de la couleur de la Lune. Ensuite, toujours sur les conseils de sa marraine, elle demande une robe de la couleur du Soleil comme preuve d’amour à son père. La marraine lui dit de demander la peau de l’âne : elle ne connait rien à l’amour violent qui consume le père. Il lui donne la peau. Sa marraine lui dit alors qu’elle doit fuir, cachée dans la peau de l’âne. Grace à la baguette magique, toutes les affaires de la Princesse la suivront, cachées sous terre. Le lendemain, tout le pays est désespéré par la disparition de la Princesse et par l’annulation du mariage. Personne n’aide la Princesse à cause de son apparence. Elle devient une souillon chez une fermière en plus d’être le souffre-douleur des valets. Tous les dimanches, elle s’isole et passe ses trois magnifiques robes. Ce petit moment lui permet de tenir la semaine. La Prince de ces terres fait souvent escale dans la Ferme où elle travaille. Elle en tombe amoureux de loin. Le Prince passe près de la chambre de Peau-d ‘Ane et la voit dans sa robe aux couleurs du Soleil. Il est charmé mais ne lui fait pas savoir sa présence. Il se retire dans son palmais où plus rien ne l’amuse ni ne l’attire. Il demande l’identité de la femme qu’il dit être une Nymphe. On lui répond qu’il s’agit de Peau-d ‘Ane et qu’elle n’a pour elle que sa laideur. La Reine s’inquiète de son état et accepte de demander à Peau-d ‘Ane de lui faire un gâteau si cela peut le rendre heureux. Elle lui fait une bonne galette dans laquelle il y a l’une de ses bagues. Le narrateur hésite entre deux versions : est-ce un hasard ou a-t-elle vu le Prince l’observer et a alors mis la bague comme gage d’amour ? Le Prince trouve la bague, la cache mais n’est pas plus heureux. Les médecins décèlent la maladie d’amour. Le Prince accepte d’être marié à la femme à qui l’anneau ira parfaitement. Toutes les dames de la Cour tentent de rendre leur doigt menu. On essaye la bague à toutes les femmes de la Cour en commençant par les princesses jusqu’aux servantes. Arrive le tour de Peau-d ‘Ane, tout le monde se moque. L’anneau lui va à ravir et la Cour est surprise. Peau-d ‘Ane demande à pouvoir changer de tenue avant d’être présentée au Roi. Le Prince est comblé en la voyant. On prépare le mariage. Le père de Peau-d ‘Ane arrive, sa folie est terminée. Il ne ressent plus pour elle qu’un amour paternel. La Princesse est couverte de gloire. La moralité de ce conte est que la vertu est toujours récompensée même si elle est pénible.

Publié dans 17e siècle

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Perrault - Les souhaits ridicules (17e siècle)

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Les Souhaits ridicules de Perrault

Personnages principaux

  • Un bucheron, Blaise
  • Jupiter
  • La femme du bucheron, Fanchon

Résumé

Le poète explique que son conte est peut-être d’origine basse mais il est persuadé qu’il plaira. Un bucheron se plaint de la difficulté de sa vie. Jupiter se montre à lui et lui promet de réaliser ses trois premiers souhaits pour montrer que la plainte du bucheron lui fait du tort. Le bucheron rentre prendre conseil auprès de sa femme. Les deux premiers souhaits sont faits par hasard. Il reçoit un Boudin qui finit par pendre au nez de sa femme. Il aimerait se faire roi mais avoir une reine avec un nez comme celui de sa femme ne l’amuse pas. Il respecte le choix de sa femme qui veut retrouver son nez. Les trois souhaits ne lui auront servi à rien. Il est impossible aux hommes misérables d’user à bon escient des dons du Ciel.

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Perrault - Les Fées (17e siècle)

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Les Fées de Perrault

Personnages principaux

  • La mère
  • L’ainée
  • La cadette
  • Une Fée
  • Le Prince

Résumé

L’ainée est aimée de sa mère contrairement à la cadette car la première lui ressemble : elle est orgueilleuse et désagréable. Lors d’une sortie, la cadette aide une vieille dame qui est en réalité une Fée et qui pour la remercier fera sortir de sa bouche Fleurs et Pierres précieuses. La mère veut absolument que cela arrive aussi à son ainée mais celle-ci est trop malhonnête et en est punie. Elle crachera crapauds et serpents, la mère en punit la cadette qui s’enfuit. Le Prince la voit, en tombe amoureux et l’épouse. Sa sœur, chassée de chez elle, meurt seule dans la forêt. La première moralité dit que la gentillesse a plus de prix que la richesse ce que complète la seconde qui dit que l’honnêteté obtient toujours une récompense.

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Perrault - Le Petit Poucet (17e siècle)

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Le Petit Poucet de Perrault

Personnages principaux

  • Un bucheron, Guillaume
  • Une bucheronne
  • Le Petit Poucet
  • Un Ogre
  • La femme de l’Ogre

Résumé

Une famille de bucheron pauvre a sept enfants dont l’un est le Petit Poucet. Le mari ne peut se résoudre à voir mourir ses enfants, il veut alors les perdre dans la forêt. La mère a du mal à se résoudre à laisser ses enfants. Le Petit Poucet, qui a tout entendu, a semé des cailloux pour retrouver le chemin. Il n’a pas peur. Les enfants retournent chez leur parent qui ont eu un peu d’argent. Mais quand l’argent vient à nouveau à manquer, ils décident de perdre à nouveau les petits. Le Petit Poucet sème alors du pain mais les oiseaux le mangent. Ils arrivent chez l’Ogre. Sa femme désespère et ruse un peu sans succès. Il veut manger les enfants avec ses amis. Grace à la ruse du Petit Poucet d’échanger les bonnets de ses frères avec les couronnes des sept petites ogresses, l’Ogre a tué ses filles et les garçons ont pu fuir. L’Ogre se jette à leurs trousses avec ses bottes de sept lieues. Quand il s’endort, le Petit Poucet les met, va chercher tout l’or de l’Ogre chez la femme de celui-ci et ramène le tout à son père où il est joyeusement accueilli. L’autre version de la fin du conte dit que le Petit Poucet n’a pas volé l’Ogre. Grace aux bottes, il s’est fait courrier à la Cour, a été grassement récompensé et est revenu chez lui pour faire la fortune de sa famille. La moralité rappelle qu’on doit aimer tous ses enfants même celui qui semble faible et inutile car il peut être la source du bonheur familial.

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Perrault - Le Petit Chaperon rouge (17e siècle)

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Le Petit Chaperon rouge de Perrault

Personnages principaux

  • Le Petit Chaperon rouge
  • La grand-mère
  • Le Loup

Résumé

Le Petit Chaperon rouge est une belle jeune fille. Son chaperon rouge a été fait par sa grand-mère. Le Petit Chaperon rouge se rend chez sa grand-mère. Elle rencontre le Loup : elle est innocente et répond à ses questions. Il lui lance un défi : savoir qui sera le premier arrivé chez la grand-mère. Il arrive en premier et mange la grand-mère avant de manger le Petit Chaperon rouge après la scène des questions-réponses. La moralité dit que les jeunes filles ne doivent pas écouter n’importe qui surtout si la personne a l’air gentille car ce sont les plus dangereuses.

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Perrault - Le Chat botté (17e siècle)

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Le Chat botté de Perrault

Personnages principaux

  • Le cadet d’un meunier = le marquis de Carabas
  • Le Chat
  • Le Roi
  • La Princesse
  • L’Ogre

Résumé

Un meunier partage le peu de biens qu’il lui reste en trois. Le cadet se plaint d’avoir hérité du Chat. Le Chat dit à son nouveau maitre de ne pas s’inquiéter, il va tout arranger. Il demande juste un sac et une paire de bottes. Le Chat offre sans arrêt du gibier au Roi de la part de son maitre qu’il a nommé Marquis de Carabas. Il met en scène sa noyade lors du passage du Roi. Sur la route, le Chat menace tous les travailleurs d’en faire de la chair à pâtée s’ils ne disent pas que les terres sont celles du Marquis. Le Chat ruse et réussit à se débarrasser de l’Ogre en le mangeant une fois qu’il s’est changé en souris. Le Chat présente alors le château comme étant au Marquis. Le Roi, charmé par le Marquis, en fait son gendre et le Chat devient un grand seigneur qui chasse les souris pour son plaisir. La première moralité dit que l’important n’est pas le bien reçu mais ce que l’on en fait. La seconde moralité contredit l’adage fameux : « L’habit ne fait le moine » car l’amour se fonde sur l’apparence dans ce conte.

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Perrault - La Belle au Bois dormant (17e siècle)

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La Belle au Bois dormant de Perrault

Personnages principaux

  • Un Roi
  • Une Reine
  • Une Princesse
  • Une vieille Fée
  • Une jeune Fée
  • Un Prince
  • La Reine-mère
  • Aurore
  • Jour
  • Le Maitre-d’hôtel

Résumé

La prédiction malheureuse de la vieille Fée, qui se sentait méprisée, se réalise. La Princesse se pique à un fuseau. La jeune Fée la fait dormir pour 100 ans ainsi que tout le château pour qu’elle ne se sente pas seule à son réveil. Après 100 ans, un Prince voit le château. Il réussit à traverser la forêt qui le protège. Quand il arrive, la Princesse se réveille. Il est charmé par sa beauté et sa voix. Le Prince épouse la Princesse mais ne dit rien à ses parents car sa mère est une ogresse. Ils ont deux enfants : Aurore et Jour. A la mort de son père, le Prince présente sa femme et ses enfants. Lors d’une de ses absences, sa mère veut manger ses petits-enfants mais le Maitre-d ‘hôtel ruse pour les sauver. Après les enfants, la Reine-mère veut manger sa belle-fille. Le Maitre-d ‘hôtel ne peut se résoudre à la tuer et ruse à nouveau. La mère veut dire à son fils que sa famille a été mangée par des loups. La Reine-mère découvre la supercherie, elle veut faire jeter tous ceux qui l’ont trahie dans une cuve de serpents mais son fils arrive et, découverte, elle plonge dans la cuve et est dévorée. Le Prince (maintenant Roi) est triste mais se console auprès de sa famille. La moralité sous-entend qu’il vaut mieux prendre son temps avant de choisir un Epoux même si cela est difficile vu l’ardeur des femmes.

Publié dans 17e siècle

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