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la parole est a vous

La parole est aux éditions Souffle Court !!!!

Publié le par litteratureetfrancais

La parole est aux éditions Souffle Court !!!! La parole est aux éditions Souffle Court !!!!
La parole est aux éditions Souffle Court !!!!

Les éditions Souffle Court lance un nouveau Concours de Nouvelles : RENAISSANCES

 

Après Martin Luther King en 2013 ("J’ai fait un rêve"), Marguerite Duras en 2014 ("Rencontres Extrêmes"), Souffle court éditions lance un nouveau concours de nouvelles francophones en hommage à Nicéphore Niepce né il y a 250 ans et inventeur de la photographie.

 

Intitulé "RENAISSANCES", un recueil collectif sera publié dans la collection l’Atelier en novembre 2015 et rassemblera une vingtaine de nouvelles inspirées de photographies. Cinq femmes photographes (Mathilde, Estelle, Christine, L. et Mlle Billy), nous offrent des pistes de Renaissances. Nous les en remercions vivement.

 

"RENAISSANCES", offrira ses pages à des univers narratifs exprimant le désir ardent de repenser le monde, de faire renaître l’espoir, de cultiver l’amour et la fraternité.

 

Chaque nouvelle (12 à 15000 caractères) :
a) Evoquera une « renaissance » ;
b) Comprendra la phrase suivante : Notre monde vient d’en trouver un autre (Michel de Montaigne) ;
c) Evoquera ou s’inspirera de façon clairement identifiable (proche ou lointaine, appuyée ou fugitive) de l’une des 5 photographies au choix visibles sur le site de l’éditeur
d) Concours ouvert du 28 février au 31 juillet 2015-02-15
e) Annonce des 15-20 auteurs retenus : 1er octobre 2015
f) Parution à compte d’éditeur fin novembre 2015

 

Vous pouvez nous contacter et nous envoyer vos textes à atelier@soufflecourt.com


www.soufflecourt.com

 

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Un petit question-réponse avec Anne David sur "Chroniques d'une branleuse"

Publié le par litteratureetfrancais

Pourquoi le choix des chroniques alors que votre projet est assez autobiographique ?

La forme de la chronique m'a permis de parler de moi certes et surtout des autres, de ne rien m'interdire. Une chronique ça doit être court, dense, et ça doit éviter de se répéter d'une fois sur l'autre. C'est une forme contraignante mais ouverte ! A vrai dire votre question pose la question de comment j'ai commencé à les écrire. Le titre s'est imposé de lui-même avant tout « projet d'écriture ». Après quelques mois de chômage passé à « veiller », à « candidater », à « subir » des entretiens, etc. J'ai commencé à écrire pour mes proches et mes amis sur Facebook quel était mon quotidien de chômeuse  donc de branleuse. J'ai été excédée par ce préjugé qui veut qu'un chômeur est un feignant, un assisté. Au fur et à mesure j'ai pioché dans des anecdotes passées que j'ai vécues mais qui dans leurs banalités ont pu être vécues par tout le monde et qui me semblaient révélatrices du monde du travail.

 

C'est donc la colère ou l'agacement du chômage qui vous a amené à écrire ?

Oui mais pas seulement. En écrivant, je me suis rendue compte que ce préjugé de branleur atteint aussi  les salariés : qu'être salarié c'est dans la tête de beaucoup « passer son temps à tenter d'en faire le moins possible ». C'est faux. Ce qui m'a amené à examiner ce présupposé qui veut que le travail soit nocif en soi. Encore une fois c'est faux. « Faire » c'est le propre de l'être humain. En revanche, un certain nombre d'idéologies, de situations pathogènes rendent le travail violent. Enfin, croire que les gens n'aspirent qu'à rester assis devant la télé c'est se tromper sur eux et sur ce qui fait l'intérêt de la vie.

 

Vous parlez beaucoup d'argent dans vos chroniques.

Certes et des paradoxes qui vont avec. Il y a le faire et il y a l'argent. Bizarrement tous les « faire » ne méritent pas salaires... Le travail artistique notamment. Les plasticiens, les commissaires d'expositions, les musiciens, les intermittents du spectacle, les dessinateurs le savent bien : ils n'ont pas un vrai métier donc le produit de leur travail n'a pas à être payé. Cet autre préjugé prend cette forme : vous avez un ami potier. Vous lui dites « Oh belle ton assiette ! Tu me la donnes ? » Et votre ami de répondre, gêné et devant s'expliquer. « Tu sais c'est mon travail je la vends. » Et vous de trouver cette réponse agaçante parce que vous vous dites que ce radin pourrait bien vous la donner à vous. Eh bien non il ne le peut pas.

 

Vous évoquez le monde de l'art...

Je parle du monde de l'art parce que je le connais bien mais aucun secteur n'échappe à ces paradoxes : quand on passe son temps à négocier les devis de l'électricien, du plombier à trouver que leur taux horaire est trop élevé. Et demandez donc à un ami avocat de relire votre courrier, à un ami médecin de regarder votre bobo. Les Chroniques d'une branleuse parlent de ces paradoxes. Ne pas vouloir d'une société d'assistés mais ne pas vouloir payer le travail. Vouloir des citoyens éduqués mais ne pas vouloir mettre d'argent dans la culture. Etc. Etc. Ce paradoxe s'aggrave dès que l'on passe hors-circuit, c'est ce qui se passe quand on est au chômage : on perd encore un peu plus la légitimité de gagner de l'argent. Votre travail peut ne pas être payé puisque vous êtes « indemnisé ».

 

Vous en parlez suivant les cas avec dérision ou ironie.

En effet, parce que finalement la situation est drôle. A bien y regarder, ces paradoxes, on a envie de les pousser à bout : de pousser cette mauvaise fois jusqu'au bout du bout de là où elle peut nous mener. C'est pourquoi je propose dans l'une des chroniques de réinventer le suffrage censitaire, que je parle de citoyen de deuxième catégorie, de sous-chômeurs pour évoquer le cas des contractuels de la fonction publique. Dans une autre je m'amuse des différences de traitement entre les hommes et les femmes et je  tire avec beaucoup de mauvaise fois la couverture du coté des femmes sous de sombres prétextes de calculs mathématiques.

Et cette dérision que vous relevez c'est parce que je m'inclue dans ces paradoxes, je n'y échappe pas. Provisoirement parfois le temps de l'écriture, j'ai l'impression d'arriver à prendre du recul, de mettre à distance ces habitudes du travail : la hiérarchie, les horaires, la charge de travail qui dévore la vie personnelle. Cependant dès lors que je réintègre la vie salariée tous mes « plus jamais » ne tiennent pas longtemps...

 

Curieusement vous ne parlez pas que du travail ou du chômage.

Bien sur. La mise à distance nécessaire dans l'écriture amène à regarder ce qui est vraiment important. A quel moment vous avez été vraiment heureux dans le travail, qu'est-ce qui vous rend heureux ? Qu'est-ce qui est important. C'est pourquoi nombre de chroniques ne parlent pas que moi : la générosité d'une connaissance que vous n'avez pas vue depuis longtemps, la bienveillance des personnes que vous croisez à ce moment particulier de votre vie. C'est pourquoi je présente les Chroniques d'une branleuse non pas comme un livre qui parle du chômage mais du bonheur, je pense que c'est leur véritable sujet. 

 

Est-ce que vous allez continuer à écrire ?

Arriver au bout d'un projet d'écriture ça donne envie de retourner dans un autre. J'ai quelques projets mais surtout envie de voir si je peux écrire quelque chose de différent, de plus éloigné de moi. Ce qui me tente beaucoup c'est les livres pour enfants. L'un des moyens, libérateurs pour achever l'écriture des chroniques, a été de ne rien s'interdire, de ne pas me censurer, d'être au plus proche de ce que je ressentais et ce que je voyais autour de moi. Ce faisant il y a eu quelques passages que je me suis beaucoup amusé à écrire et qui pour moi font écho à ce que ma mère me lisait quand j'étais petite et je voudrais retrouver ces moments de lectures et d'écriture.

 

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Stéphanie Aten prend la parole et nous parle, avec humour, des femmes et de l'espionnage

Publié le par litteratureetfrancais

Une femme qui écrit de l'action et de l'espionnage : quezaco ?

 

On me le dit souvent : « T'as pas le profil ».

Petit gabarit, tâches de rousseur qui me donnent l'air d'une ado, mon imaginaire pour boussole. Rien en commun avec le monde des armes, de la manipulation psychologique, des agents secrets, de la violence, de la testostérone... C'est vrai.

Sauf que...

Plus on est petit, plus on a de carafon, et j'ai toujours été fascinée par l'action. J'ai d'ailleurs cherché plusieurs fois à en faire partie, mais la vie a une fâcheuse tendance à vous remettre continuellement à votre place par des travers imposés. J'ai donc fini par piger :

 

« Ton talent, c'est l'écriture, scotche-toi à ton clavier ! ».

Message reçu, je m'y suis collée.

 

C'est sur le papier que tout explose. Les mots deviennent mes armes, les intrigues sont mon champ de bataille, mes personnages mes meilleurs alliés, et ma passion pour la « fiction » une réalité alternative.

 

Alors une femme qui écrit de l'espionnage, est-ce intéressant ou ennuyeux ?

Qu'est-ce que ça a de plus, ou de moins, que les Ludlum, Clancy, Littell,

et autres auteurs mâles aux bijoux de famille bien accrochés ?

 

Une semaine en arrière, je suis allée « pitcher » un projet de série télé à une maison de production (je suis scénariste aussi, on se refait pas). Une série sur un agent secret, mais avec vue sur l'intérieur : ses souffrances, ses difficultés, ses conflits personnels, bref.

C'est là qu'on m'a donné la réponse à la question ci-dessus :

                                                                          
« Votre plus gros atout, c'est l'approche. Une femme commence toujours par décortiquer la psychologie d'un personnage, jusque dans ses sentiments, avant de s'attaquer à ses actions. Ça donne généralement des héros beaucoup plus vrais et profonds que la moyenne ».

 

Je suis donc heureuse de vous le confirmer :

une femme qui écrit de l'espionnage, c'est différent

parce que l'angle d'attaque est différent. Un homme d'action, même très con, reste un homme. Avec des motivations jaillies d'un passé, des aspirations prédisant un avenir, des conflits refoulés et des problèmes à régler. Un homme d'action est un homme normal vivant dans l'anormalité, et c'est cet aspect que je trouve intéressant d'étudier.


Cela fait-il de mes histoires, des analyses psycho-thérapeutiques soporifiques ?

 

Pas du tout.

Comme je partage ma vie avec un ancien homme d'action, non seulement je connais par cœur l'antre secrète de ces énergumènes atypiques, mais en plus, j'ai accès à toutes leurs techniques : close combat, armes, espionnage, filatures, stratégies... Une mine vivante, vibrante, source perpétuelle d'inspiration et de réalisme. Outre mon approche féminine, vous trouverez donc chez moi un goût certain pour les scènes d'action pures, pour le concret, le franco de port, le direct.

 

En conclusion :

Une femme qui écrit de l'action et de l'espionnage, bien informée et bien formée... ça donne ça :

 

 

Les critiques et chroniques qui se cumulent jusque sur Mediapart, Attac-Belgique, la Suisse... devraient achever de vous convaincre que nous, les filles... pouvons très bien être des Lara Croft en puissance ! Dans ce livre, vous trouverez même une documentation poussée sur les rouages de notre Monde... et comment les démonter ! Bonne découverte Messieurs Dames !

 

 

Site web officiel :

http://stephanie-aten.e-monsite.com/

Critique des spécialistes du polar :

http://unpolar.hautetfort.com/archive/2014/10/29/la-3e-guerre-de-stephanie-aten.html

Lien d'achat au format numérique ou papier :

http://www.amazon.fr/La-3e-Guerre-St%C3%A9phanie-ATEN-ebook/dp/B00NFSDIG2

 

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Questionnaire de Proust encore avec Marie-Sophie Kesteman !

Publié le par litteratureetfrancais

Bonjour/bonsoir/bonne nuit tout le monde!

J’avais plein de choses urgentes à faire ce soir alors j’ai répondu à ce super questionnaire de Proust! Je vous invite à en faire autant, c’est très détendant.

Le principal trait de mon caractère ?

Fatigante! Je déborde d’énergie, toujours! Je parle avec beaucoup de geste, des mîmes, des imitations de voix. Je ris de tout. Je danse, je chante. Quand je conduis ou quand je me lève. Mon copain, ma petite soeur et mes parents passent le plus clair de mon temps à dire que je suis usante. J’assume  :p

La qualité que je préfère chez un homme ?

Son porte monnaie bien entendu. Ou pas! Il me faut un homme “nature”. Attention, qu’on se comprenne: Pas un tout poilu qui ne se lave pas! Un homme qui aime aller faire du camping sauvage et un feu de camp sur la plage pour manger des marshmallow plutôt...

La qualité que je préfère chez une femme ?

Qu’elle de taise. Pas de cancans. Pas de potins. Pas de discussions évaporées et stériles sur “Oh, mon dieu! J’aime tellement pas mes chevilles. Faudrait peut-être que je les fasses refaire. Tu savais que Patricia n’est plus avec son mec?”. Là, je me lève, je leur laisse payer mon verre et je rentre chez moi regarder une bonne série.

Ce que j'apprécie le plus chez mes amis ?

La façon dont je me sens bien en leur compagnie. On ne se juge pas et on peut faire les fous ensemble.

Mon principal défaut ?

Ma timidité! En ligne, je suis une véritable meneuse. Quand je suis avec une ou deux personnes, aussi. Mais quand je suis avec une dizaine de personnes inconnues: on ne m’entend plus.

Mon occupation préférée ?

L’écriture, la lecture. Ne rien faire. Ne rien faire. Dormir.

Sinon, je suis une grande grande fan de.... mangas et d’anime. Pour preuve: Je regarde tellement de séries en japonais sous-titré anglais que je commence à comprendre le japonais et que je repère les fautes de traductions. Si si...

Mon rêve de bonheur ?

Vivre sans attache morale ou émotionnelle. (Oui, ceci était le moment flippant et sérieux de ce questionnaire).

Quel serait mon plus grand malheur ?

La fermeture de l’entreprise Kinder. Ou nutella. Ou Leo...

Ce que je voudrais être ?

Une vidéo-capsule (une caméra que l’on avale comme une gellule et qui cartographie l’intestin). Ben quoi? Vous pas? Bon, ok, sa fin de vie est plutôt merdique (sourire). Mais c’est l’une des imageries les plus “in” du moment! Et en plus question de rapport poids/valeur : 690€ pour quelques grammes... Si je le réfère à mon poids actuel... Je suis riche!
Ou alors une hirondelle. Parce que c’est un peu comme un avion de chasse. Qui mangerait des mouches.

Le pays où je désirerais vivre ?

Sans trop de surprise: Le japon. Ou plutôt: J’aurais voulu naitre au japon.

La couleur que je préfère ?

Le rouge.

La fleur que j'aime ?

La fleur... la fleur... J’ai essayé de trouver un jeu de mot. J’ai pas trouvé. Donc : L’édelweiss. Pourquoi? Parce que j’ai une espèce de complexe de supériorité mal refoulé.

L'oiseau que je préfère ?

Alors... Sans hésitation: Les chouettes et les hiboux! J’ai une espèce de lien assez étrange avec la nuit. Je m’y sens bien. Les héros de mes romans aussi généralement 

Mes auteurs favoris en prose ?

Les auteurs des EHJ! Bon.. et ceux ci-après cités, mais ils sont beaucoup moins bon...

Edmond Rostand et Arthur Conan Doyle pour la force de leurs personnages.

J.R.R. Tolkien pour son univers.

Mes poètes préférés ?

Je n’ai aucun poète préféré. La poésie est en toute chose. Dans une photo, une chanson, un instant....

Mes héros dans la fiction ?

Abrahel, le mien. Il ne pouvait en être autrement. Sinon, Cyrano, pour sa verve. Docteur House et Sherlock Holmes pour leurs répliques épiques!

Mes héroïnes favorites dans la fiction ?

Aucune qui m’ait encore vraiment convaincue! Même la mienne  :p  Allez, amis auteurs, montrez moi une fille qui retourne tout! Et qui reste crédible. Ah si tiens! Vin, de “Fils des brumes”. Mais je l’aurais quand même bien attachée en haut d’un sapin en flamme au début du roman ...

Mes compositeurs préférés ?

Mozart (Oui, oui, c’est bateau). Et two steps from hell. Ils font des morceaux de musiques héroiques qui vous feraient foncer tête baissée à l’assaut d’une meute de loup affamés.

Mes peintres favoris ?

De Vinci, pour tous les messages cachés dans ses tableaux!

Mes héros dans la vie réelle ?

Les héros anonymes comme ce vieil sdf russe de 90 ans qui mendiait dans la rue et qui donnait tout ce qu’il recevait à un orphelinat.

Mes héroïnes dans l'histoire ?

Aliénor d’aquitaine (Elle a fait un sacré “pied-nez” à son ancien mari ) : , la papesse jeanne.

Ce que je déteste par-dessus tout ?

L’irrespect et l’injustice. Je tuerais pour ça. Et je sais comment faire disparaitre un cadavre en 15 minutes. Et en une nuit, il n’y a plus une trace.

Personnages historiques que je méprise le plus ?

Euh... Il a une petite moustache moche et une crampe au bras droit. Ah, oui! C’est un gros con.

Le fait militaire que j'admire le plus ?

Le débarquement aéroporté de 1944. Imaginez un peu la descente. Vous ne pouvez rien faire d’autre qu’attendre de toucher le sol alors que des millards de tirs de mitrailleuses zèbres le ciel. Et à part ça, le silence.

Les réformes que j'estime le plus ?

L’accès de la femme au droit de vote. Quoi? Moi, féministe? Si peu...

Le don de la nature que je voudrais avoir ?

Euh... Bah... euh... Que pourrais-je demander de plus?! Bon. J’aimerais voler. Dans le ciel. Comme un avion de chasse!

Comment j'aimerais mourir ?

En sauvant une vie. Si possible pas celle d’un pédophile multi-récidiviste (même s’il est pas multi-récidiviste en fait ...). Si c’est le cas, je le hanterai toute ma vie. Enfin, toute ma mort.

État présent de mon esprit ?

Oh tiens, j’ai examen de gynécologie demain. Il faudrait que j’étudie. J’ai envie d’un thé.

Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence ?

Les fautes de frappes.

Ma devise ?

J’en ai deux, qui incarne tout ce que je suis  :p Ou essaie d’être  :p

“ La vie, ce n’est pas d’attendre que les orages passent, mais d’apprendre à danser sous la pluie.”

“Abandonner? Je ne sais même pas ce que ça veut dire”

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C'est au tour de Marie-Pierre Bardou de prendre la parole, toujours sous forme de questionnaire de Proust !

Publié le par litteratureetfrancais

Le principal trait de mon caractère ?

Spontanée ! Trop, peut-être… Je ferais une joueuse de poker toute pourrie, contrairement à mes personnages de romans qui savent parfaitement mettre un masque. J

La qualité que je préfère chez un homme ?

J’ai besoin d’admirer pour être séduite. Je suis surtout sensible à la culture générale, au charisme, ou aux qualités humaines. Ou encore à un don, quel qu’il soit – artistique, manuel...  Mais non, je ne suis pas difficile !^^

La qualité que je préfère chez une femme ?

L’humour, surtout ! Et l’originalité, la capacité à penser différemment… j’aime les filles qui savent sortir des sentiers battus.

Ce que j'apprécie le plus chez mes amis ?

La complicité : c’est vraiment l’une des émotions les plus précieuses au monde, avec la tendresse.

Mon principal défaut ?

Spontanée ! J Et je n’ai pas beaucoup de patience, aussi…

Par contre, avec le temps – et la maturité, si, si ! –  j’ai développé une qualité précieuse pour contrebalancer cette impatience : je suis devenue tel le pitbull moyen, j’ai appris la ténacité !

Mon occupation préférée ?

À part la lecture ? Heu… la lecture ! J Non, plus sérieusement, je suis une fan des séries TV, qui sont (parfois) de véritables perles en termes de créativité. Je m’en inspire beaucoup pour les arcs narratifs, les cliffhangers, le rythme… La série Lost, par exemple, est l’une de mes références et je l’utilise depuis le second tome de Dia Linn.

Sinon j’aime bien la cuisine, le jardinage (au grand dam de mes plantes vertes qui crèvent rien qu’à me voir approcher d’elles)…

Mon rêve de bonheur ?

Voyager… et écrire !

Quel serait mon plus grand malheur ?

Perdre l’un des miens.

Ce que je voudrais être ?

Ce que je suis !^^ En version améliorée, tant qu’à faire… Ou un écureuil, parce que… heu, je ne sais pas, j’aime les écureuils.

Le pays où je désirerais vivre ?

L’Irlande… ceux qui lisent mes romans sauront pourquoi ! J’ai beaucoup voyagé et je suis née à l’étranger, mais quand j’ai visité l’Irlande, j’avais la sensation très étrange d’être revenue à la maison… Dans une vie antérieure, peut-être étais-je une celte ?

La couleur que je préfère ?

Rouge !

La fleur que j'aime ?

Je n’y connais vraiment rien en fleurs…

L'oiseau que je préfère ?

J’adore les chouettes ! Ou les vautours : quand j’ai fait du parapente, j’avais un immense vautour comme compagnon de vol ; il était si près qu’en tendant le bras j’aurais pu le toucher… magique !

Mes auteurs favoris en prose ?

Dostoïevski, parce que personne mieux que lui n’a su cerner l’âme humaine…Mankell, le roi de l’épure…Ellory, au style si puissant…Oscar Wilde, pour moi l’un des meilleurs écrivains au monde… Et tellement d’autres !

Mes poètes préférés ?

Apollinaire, Hugo… Saint John Perse, Jules Supervielle, et « Le cimetière marin », de Paul Valéry : de la pure musique !

Mes héros dans la fiction ?

Je n’ai pas vraiment de héros à proprement parler ; plutôt des personnages qui m’ont marquée : celui de Jaqen H’ghar, le Sans-Visage de Game Of Thrones ; ou le psychiatre qui, de proie, devient chasseur dans « L’analyste » » de Katzenbach…

Mes héroïnes favorites dans la fiction ?

Pareil ! Ce sont plutôt des personnages dont j’ai aimé croiser la route. J’adore Peabody, l’héroïne des très chouettes romans d’Elizabeth Peters : un personnage haut en couleur, féministe avant l’heure, drôle et attachant. Ou les héroïnes subtiles et intelligentes de Jane Austen… celles, torturées et passionnées, de la littérature russe… Bon, il y en a trop pour faire la liste ! ^-^

Mes compositeurs préférés ?

Je n’y connais pas grand-chose en musique…

Mes peintres favoris ?

Je n’y connais rien en peinture…– oui, je sais, il y a beaucoup de domaines où je suis absolument ignare, mais bon ! Je suis auteur, pas fleuriste-musicienne-peintre ! J Quand je serai à la retraite, je compte bien rattraper mes lacunes ! Enfin, si j’arrive jusque-là….

Mes héros dans la vie réelle ?

Je suis fascinée par Gandhi et par Mandela : leur capacité à pardonner est tout simplement inhumaine.

Sinon, j’ai un faible pour les personnages au culot monstre, comme Michael Collins, un personnage que j’ai découvert en faisant mes recherches pour mon 5ème tome de Dia Linn : il était dingue, ce type, il se baladait à visage découvert dans Dublin avec sa tête mise à prix et passait les barrages de flics en donnant son propre nom – aucun militaire ne le prenait au sérieux et le laissait passer en rigolant, il a fait ça pendant plus de 6 années !

Mes héroïnes dans l'histoire ?

Alexandra David-Néel, Aung San Suu Kyi, Aliénor d’Aquitaine : 3 « sacrées femmes », dont le courage et l’audace me fascinent, chacune dans leur genre.

Ce que je déteste par-dessus tout ?

L’arrogance. Ça me rend dingue !

Personnages historiques que je méprise le plus ?

Custer, le salaud arrogant (ben oui !) qui se moquait d’envoyer ses hommes à la mort et n’hésitait pas à massacrer des gosses… mais ils étaient indiens, hein, donc aucune importance !

Le fait militaire que j'admire le plus ?

Les batailles perdues d’avance… et qui ont été gagnées malgré tous les pronostics : par exemple, la « parfaite bataille de Lee », pendant la guerre de Sécession, à Chancerlorsville : 60 000 types d’un côté, débraillés, manquant de munitions, épuisés ; et 133 000 de l’autre, tout frais et bien équipés… Et c’est qui qui gagne ? C’est l’une des découvertes passionnantes de mon tome 4 !

Les réformes que j'estime le plus ?

La loi de Murphy : si les choses qui peuvent aller mal vont forcément aller mal, autant tout foirer dès le départ pour être tranquille !

Comment ça, ce n’est pas une réforme ? J

Le don de la nature que je voudrais avoir ?

La télépathie, j’adorerais !

Comment j'aimerais mourir ?

Peu importe, mais que ça aille vite !

Comme le dit très bien Woody Allen « Ce n’est pas que j’ai peur de mourir, mais je préfère être ailleurs quand ça se produira »…

État présent de mon esprit ?

Ou mon état d’esprit présent ? J Comme d’habitude : tête en l’air, rêveuse, râleuse, impatiente, têtue, contrariante, de mauvaise foi…

Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence ?

Les oublis… de toutes sortes, pour les têtes en l’air dans mon genre !

Ma devise ?

« Que je trépasse si je faiblis » !!! Ah non, zut, c’est déjà pris ^-^

 

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Kathy Dorl prend la parole et répond au questionnaire de Proust !!

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Le principal trait de mon caractère ?

Le bon trait de caractère ? Il parait que je suis intuitive.

La qualité que je préfère chez un homme ?

La sensibilité

La qualité que je préfère chez une femme ?

L'humour et l'autodérision,  celles qui n'en n'ont pas m'ennuient profondément.

Ce que j'apprécie le plus chez mes amis ?

Leur fidélité, je connais mes proches depuis l'école.

Mon principal défaut ?

Râleuse, pas la râleuse occasionnelle, la vraie 100% pure râleuse.

Mon occupation préférée ?

Glandouiller devant un film, à la plage, dans un hamac, je cultive l'art de la paresse. J'aime écrire, coucher des histoires sur le papier.

Mon rêve de bonheur ?

La paix dans le monde. Bon on peut tolérer quelques petits larcins, genre "le facteur de Tripouilly les oies a perdu son pantalon, un chien est en garde-à-vue", question d'avoir quelques dépêches AFP. Mais le monde tel qu'il tourne actuellement me fait peur.

Quel serait mon plus grand malheur ?

La perte d'un enfant.

Ce que je voudrais être ?

Un hérisson pour être parfois en "mode hérisson"

Le pays où je désirerais vivre ?

Je réponds par une ville et une région du monde : la ville,  NYC  ma ville préférée) et la Polynésie Française

La couleur que je préfère ?

Le vert, celui d'un trèfle à quatre feuilles, celui de la St Patrick bref, le vert irlandais J

La fleur que j'aime ?

La pivoine

L'oiseau que je préfère ?

Le colibri

Mes auteurs favoris en prose ?

Yoda, Star Wars, épisode VI : Le Retour du Jedi J

Mes poètes préférés ?

Aragon, Eluard, Vian, Hugo, Garcia Lorca

Mes héros dans la fiction ?

Obi-Wan Kenobi

Mes héroïnes favorites dans la fiction ?

Ma sorcière bien-aimée.

Mes compositeurs préférés ?

Vivaldi, Ravel, Beethoven, Magma, Genesis, Nougaro, Michel Jonasz, Gino Vannelli, Jeff Beck, Daft Punk, Bowie, Bernard Lavilliers

Mes peintres favoris ?

Dali, Miro, Matisse, Frida Kalho

Mes héros dans la vie réelle ?

Médecins Sans Frontières

Mes héroïnes dans l'histoire ?

Il y en a tant… Rosa Parks

Ce que je déteste par-dessus tout ?

L'injustice

Personnages historiques que je méprise le plus ?

Les tyrans, les dictateurs et les extrémistes de tous bords, et la liste est longue…

Le fait militaire que j'admire le plus ?

Ceux dont l'objectif est de rendre la liberté et la dignité.

Les réformes que j'estime le plus ?

L'abolition de l'esclavage et de la peine de mort.

Le don de la nature que je voudrais avoir ?

Voler comme un oiseau

Comment j'aimerais mourir ?

Dans mon sommeil

État présent de mon esprit ?

Envie de bonbons J

Fautes qui m'inspirent le plus d'indulgence ?

Les fautes d'orthographe J

Ma devise ?

L'expérience est la somme des échecs accumulés.

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La parole est à vous !

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- Sous forme d'un texte Word

- A envoyer à l'adresse mail suivante : "manu050287@hotmail.com" avec pour objet :"La parole est à vous"

 

Je me réserve le droit de refuser un article si celui-ci est problématique ! Vous en serez alors informé ! 

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