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18e siecle

Voltaire - L'Ingénu (18e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

L’Ingénu de Voltaire

Personnages principaux

  • L’abbé de Kerkabon
  • Mademoiselle de Kerkabon
  • L’Ingénu
  • Mademoiselle de Saint – Yves
  • Le père de La Chaise
  • Mons de Louvois
  • Gordon
  • Le père Tout – à –tous
  • M de Saint Pouange

Résumé par chapitres

Chapitre 1 : M et Mlle Kerkabon pleurent leur frère disparu. Rencontre avec l’Ingénu, un Huron. Celui-ci plait à tous les habitants. Il va repartir dès le lendemain. Il plait beaucoup à Mlle de Kerkabon et à son amie Mlle de Saint-Yves.

Chapitre 2 : M et Mlle Kerkabon reconnaissent leur frère sur le médaillon de l’Ingénu. Il est leur neveu perdu. Celui-ci l’accepte sans joie ni peine. Ils vont lui faire son éducation avant de le baptiser.

Chapitre 3 : M de Kerkabon veut que son neveu soit baptisé pour lui succéder un jour. Au moment du baptême, l’Ingénu est introuvable alors qu’il a fait tout ce qu’il fallait pour être catholique.

Chapitre 4 : Mlle de Saint – Yves est la seule à convaincre l’Ingénu que le baptême ne se fait plus dans une rivière. Elle est sa marraine. On l’a baptisé Hercule. Mlle de Saint-Yves est flattée de l’attention que lui porte l’Ingénu.

Chapitre 5 : L’Ingénu est amoureux de Mlle de Saint-Yves. Il ne voit pas pourquoi il doit demander l’autorisation de l’épouser. Il veut renier sa religion quand il apprend qu’il ne peut pas l’aimer car elle est sa marraine.

Chapitre 6 : L’Ingénu se jette sur sa maitresse. Après de nombreuses discussions, il rentre chez son oncle. Pendant ce temps, Mlle de Saint-Yves est envoyée au couvent, ce qui rend l’Ingénu fou. Mlle de Kerkabon le croit possédé par le diable.

Chapitre 7 : L’Ingénu est désespéré. Il repousse els Anglais sans beaucoup d’efforts. Il va se rendre chez le roi pour y être présenté comme un héros. Il a l’intention de lui demander la main de Mlle de Saint-Yves.

Chapitre 8 : Discussion entre l’Ingénu et des hommes de Saumur qui regrettent que leur roi soit manipulé par ses conseillers. L’Ingénu promet de parler au roi. L’espion du père de La Chaise envoie une lettre à son patron. Lettre qui arrive à la cour en même temps que l’Ingénu.

Chapitre 9 : L’Ingénu n’arrive à voir personne pour se faire récompenser. On le croit fou. Il est jeté en prison à cause des différentes lettres arrivées parlant de lui.

Chapitre 10 : Rencontre avec Gordon. L’Ingénu apprend beaucoup de choses à ses côtés. Il n’oublie pas Mlle de Saint-Yves ni son oncle. Il les plaint car ils doivent être inquiets de ne pas avoir de ses nouvelles.

Chapitre 11 : L’Ingénu devient très intelligent et écrit de bonnes critiques même Gordon est « jaloux » car son ami est plus lucide que lui-même qui a étudié pendant des années.

Chapitre 12 : L’Ingénu lit beaucoup. Gordon lui suggère Rodogune. Il ne l’apprécie pas. Il dit qu’il est du gout des hommes comme de leurs statuts : injuste et pas forcément bon.

Chapitre 13 : M et Mlle Kerkabon sont à Versailles pour retrouver leur neveu absent depuis presque un an sans succès. Mlle de Saint-Yves, qui s’est sauvée, utilise d’autres méthodes.

Chapitre 14 : L’Ingénu est très en colère contre la France où l’on se croit civilisé et où l’on agit comme des sauvages. Il « convertit » Gordon.

Chapitre 15 : Mlle de Saint-Yves va voir M de Saint-Pouange qui lui accorde la faveur demandée à condition qu’elle accepte de lui faire une faveur. Son amie l’envoie chez le père Tout-à-tous pour régler le problème.

Chapitre 16 : Rencontre avec le père de Tout-à-tous. Il n’ose croire ce qui lui dit, en confession, Mlle de Saint-Yves mais, à mots couverts, il l’incite à céder à M de Saint-Pouange !

Chapitre 17 : Mlle de Saint-Yves est dépitée par le monde de la cour. Son amie lui dit qu’elle doit le faire. Elle finit par céder après une longue résistance en se jurant de ne penser qu’à l’Ingénu.

Chapitre 18 : Retrouvailles avec l’Ingénu. Elle ne lui a pas tout dit. Il lui demande de faire libérer Gordon. Elle en reçoit l’ordre de son protecteur mais ne se présente pas au rendez-vous qui suit.

Chapitre 19 : « L’amie » de Mlle de Saint-Yves lui apporte les diamants oubliés. L’Ingénu voit tout et comprend. Sa maitresse se retire et va très mal. Lui et les autres refont le monde mais il n’oublie pas sa future femme à qui il a déjà pardonné.

Chapitre 20 : Mort de Mlle de Saint-Yves après avoir avoué ses péchés. L’Ingénu ne lui en veut pas. Il veut se tuer. M de Saint-Pouange éprouve du regret pour ce qu’il a fait et fait de l’Ingénu, de ses amis et de sa famille des hommes privilégiés. La morale est : « malheur est bon à quelque chose. »

Publié dans 18e siècle

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Rousseau - Discours sur les sciences et les arts (18e siècle)

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Discours sur les sciences et les arts de Rousseau

Personnages principaux

  • Le narrateur

Résumé par parties

Préface : Il s’agit d’une de ces vérités qui tiennent au bonheur du genre humain. Il s’attend à un blâme universel. Rétablit dans l’état dans lequel il a été couronné. Seul ajout : quelques notes et deux additions.

Discours : Le rétablissement des sciences et des arts a-t’il contribué à épurer ou à corrompre les mœurs ? Ce n’est point la science qui est maltraitée : c’est une défense de la vertu.

Partie 1 : Beau spectacle : l’homme sort du néant par ses efforts (s’élever au-dessus de lui-même, s’élancer par l’esprit,…) Ce qui est le plus difficile c’est de rentrer en soi pour y étudier l’homme. L’Europe est un état pire que l’ignorance. Révolution pour ramener les hommes au sens commun. Les sciences suivirent les lettres : l’art des lettres se joignit à l’art de penser. L’esprit et le corps ont des besoins. Lettres, arts et sciences forment des peuples policés en étouffant la liberté originelle : les apparences de toutes les vertus sans en avoir aucune. Un ton philosophique sans pédanterie, des manières naturelles, éloignées de la rusticité,… Fruits du gout acquis par de bonnes études dans le commerce du monde. Tant de qualités (la décadence, la contenance,…) vont rarement ensemble. L’homme sain et robuste se reconnait à d’autres marques que la richesse et la parure. L’homme de bien méprise les ornements. Avant l’art, nos mœurs étaient rustiques mais naturelles. La différence des procédés annonce celle des caractères. Les hommes trouvent leur sécurité dans la facilité de se pénétrer et ceci leur épargne des vices. Aujourd’hui, l’art de plaire est un principe. Ils sont jetés dans le même moule : la politesse et la bienséance ordonne. Pour connaître son nom, il faudra attendre les grandes occasions. Ce voile uniforme et perfide de politesse cache de nombreux vices. On ne vantera pas son mérite mais on rabaissera celui d’autrui. Certains vices seront déshonorés alors que d’autres seront décorés comme des vertus. Telle est la pureté de nos mœurs, un étranger devinerait le contraire de ce qu’elles sont. Nos sciences et nos arts sont avancés alors que nos âmes se sont corrompues. Egypte devient la mère de la philosophie et des beaux-arts. Rome devient le théâtre du crime, le jouet des barbares. Arts et sciences sont de « vaines connaissances ». Eloge de Sparte (« opprobre éternel d’une vaine doctrine ») qui a chassé les artistes et les savants. Socrate fait l’éloge de l’ignorance. Critique du développement de la science et des arts dans Rome : l’étude de la vertu éclipsa sa pratique. Les hommes sont pervers, ils seraient pires encore s’ils avaient eu le malheur de naître savants. Série d’exclamation et d’interrogation. Examiner la vanité et le néant. Considérer arts et sciences pour voir ce qui DOIT en résulter !

Partie 2 : Un dieu ennemi du repos des hommes est l’inventeur des sciences (allégorie de la fable de Prométhée). Les sciences et arts doivent leur naissance à nos vices. Nouvelle série de questions. Qui cherche la vérité bien sincèrement ? Comment la reconnaitre ? Si on la trouve, qui en fera bon usage ? En politique comme en morale, c’est un grand mal que de ne point faire de bien. Il faut apprendre qu’on a tout avec l’argent, hormis des mœurs et des citoyens. La dissolution des mœurs entraine la corruption du gout. Les arts se perfectionnent alors que les vertus militaires s’évanouissent. L’étude des sciences est plus propre à amollir et efféminer les courages qu’à les affermir et les animer. Série de questions sur les hommes n’ayant plus ni courage ni vertu militaire. On ne demande plus d’un homme s’il a de la probité mais s’il a des talents. Nous avons des savants et des artistes mais plus de citoyens et ceux qui restent périssent indigents et méprisés. Le mal n’est pas aussi grand qu’il aurait pu le devenir. Questions sur la philosophie. Laissons à d’autres le soin d’instruire les peuples de leurs devoirs, et bornons nous à bien remplir les nôtres. Question à la vertu.

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Montesquieu - Lettres persanes (18e siècle)

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Lettres persanes de Montesquieu

Personnages principaux

  • Usbek
  • Rustan
  • Le premier eunuque noir
  • Zachi
  • Zéphis
  • Nessir
  • Fatmé
  • Ibbi
  • Mirza
  • Jaron
  • Le mollak Méhémet – Hali
  • Le premier eunuque blanc
  • Ibben
  • Rica
  • Rhédi
  • Roxane
  • Gemchid
  • Ben Josué
  • Pharan
  • Nargum
  • Zélis
  • Zélide
  • Aphéridon
  • Astarbé
  • Soliman
  • Santon
  • Hassein
  • Nathanaël Levi
  • Narsit
  • Solim

Résumé par lettres

Lettre 1 : Usbek écrit à son ami qu’ils sont les premiers Persans à quitter le pays pour le savoir et que cela ne doit pas être très bien vu.

Lettre 2 : Usbek écrit à son eunuque pour qu’il veille bien sur son sérail, il part leur offrir du plaisir mais dans la limite de la vertu.

Lettre 3 : Zachi est la maitresse d’Usbek. Elle se souvient comment elle l’a séduit. Elle lui rappelle son amour et pleure son départ loin d’elle. Elle est allée à la campagne car le sérail lui rappelle trop de souvenirs.

Lettre 4 : Zéphis se plaint à Usbek de son esclave Zélide qui la dénigre. Elle veut qu’Usbek le défende.

Lettre 5 : Rustan explique à Usbek que personne ne comprend ni n’approuve son départ sauf ses amis.

Lettre 6 : Usbek admet sa peine lorsqu’il a quitté la Perse et avoue la jalousie qui la dévore à cause de ses femmes.

Lettre 7 : Fatime se plaint de l’absence de son époux. Elle lui dit bruler d’une passion dévorante pour lui. Elle continue de se soigner pour lui malgré la distance.

Lettre 8 : Usbek dit la vraie raison de son voyage à Rustan : il fuit ses ennemis qu’il s’est fait en restant vertueux à la Cour.

Lettre 9 : Le premier eunuque parle des difficultés de son rôle : il doit gérer les femmes du sérail. Il a d’abord eu du mal à gérer ses propres envies. Il ne sait jamais comment il sera aimé. Il envie Ibbi qui ne s’occupe que d’Usbek.

Lettre 10 : Mirza se plaint de son absence et lui demande des conseils.

Lettre 11 : Il est flatté que son ami lui demande conseil. Il lui raconte l’histoire des Troglodytes qui n’avait aucun gouvernement et qui ne connaissait pas l’équité et en sont morts.

Lettre 12 : Usbek raconte ensuite comment eux familles troglodytes vertueuses ont formé un peuple parfait.

Lettre 13 : Il continue en prouvant leur vertu qui gagne même face à l’injustice des peuples environnants qui voulaient les attaquer et qui ont dû fuir.

Lettre 14 : Les troglodytes deviennent nombreux et voulurent un roi. Celui qui a été choisi déplore ce qui lui arrive car il ne veut pas qu’ils soient bons par obligation à part celle de leur propre vertu.

Lettre 15 : Le premier eunuque dit à Jaron qu’il l’aime comme un père et qu’il espère que ce voyage ne va pas le souiller.

Lettre 16 : Usbek demande au mollak de l’aider à rester pur lors de son voyage en Occident.

Lettre 17 : Usbek a besoin du mollak car il doute ! Il se pose des questions sur les lois et leur objectivité.

Lettre 18 : Le mollak lui répond et donne des explications. Il prévient Usbek qu’on ne peut comprendre quelque chose qu’en en connaissant tous les aspects.

Lettre 19 : Il déplore l’état de l’Empire Ottoman qui est pauvre et se fait « manger » par les Européens. Il n’y a qu’une vraie ville : Smyrne.

Lettre 20 : Usbek fait la morale à Zachi car elle l’a déshonorée en ayant été vue avec un eunuque blanc. Celui-ci sera puni.

Lettre 21 : Usbek prévient le premier eunuque blanc que si quelqu’un fait encore un écart, il sera comme un insecte à ses yeux.

Lettre 22 : Jaron apprend au premier eunuque noir qu’il va la rejoindre car Usbek est très jaloux. Il sait qu’il va devoir être sévère.

Lettre 23 : Usbek est étonné que les femmes soient si libres en Europe. Il sent toutes les différences des cultures. Il va se rendre à Paris.

Lettre 24 : Rica raconte à Ibben ce qu’il a vu à Paris depuis un mois. Il déteste le côté pressé des français. Il critique la société en montrant l’influence du Prince et du Pape. Il ne comprend pas tout mais il sait que ces derniers manipulent les esprits.

Lettre 25 : Usbek avertit Ibben que son neveu veut se rendre en Italie afin de s’instruire, il le remercie pour son amitié.

Lettre 26 : Il écrit à Roxane dont il fait l’éloge de la vertu car même face à lui, son époux, elle a toujours gardé sa pudeur. Il s’excuse de l’avoir laissée, elle méritait mieux.

Lettre 27 : Usbek écrit à Nessir que sa santé n’est pas au mieux. Il ne veut pas que cela se sache au sérail pour éviter une baisse de moralité.

Lettre 28 : Rica décrit les théâtres et l’Opéra. Il est étonné de ces coutumes. Il a rencontré une fille à l’Opéra qui a été déshonorée et qui veut qu’il l’emmène à Ispahan sous sa protection.

Lettre 29 : Rica parle du Pape et de la religion. Il en explique les « rouages ». Il parle des hérésies et montre l’intolérance de l’Espagne. Il dit que tout cela est compliqué.

Lettre 30 : Il parle de l’extravagance des Parisiens qui ne s’intéressent à lui que parce qu’il est Persan.

Lettre 31 : Rhédi apprécie Venise même si elle est profane. Il apprend tout ce qu’il peut.

Lettre 32 : Rica raconte sa rencontre avec l’aveugle qui l’a conduit dans Paris comme si de rien n’était.

Lettre 33 : Usbek critique le fait de boire du vin afin d’égayer la vie car celui-ci est mauvais pour la raison.

Lettre 34 : Usbek parle de la joie des hommes européens qui connaissent l’amitié, vertu quasiment inconnue en Orient. Il explique que, là, les gens ne comprennent pas l’esclave et la gestion du sérail par les esclaves.

Lettre 35 : Usbek écrit à son cousin, Gemchid, qu’il a trouvé de nombreux points communs entre le Mahométisme et le Christianisme mais sans Mahomet. Il semble très tolérant.

Lettre 36 : Il parle des cafés que l’on trouve à Paris et des hommes d’esprit qui se disputent pour des choses futiles au lieu d’aider leur patrie.

Lettre 37 : Usbek parle du roi de France à Ibben. Il admet que celui-ci contrôle tout mais il en montre aussi les nombreuses contradictions.

Lettre 38 : Rica parle de la différence d’opinion sur la relation entre homme et femme en Orient et en Occident. Il trouve les deux points de vue justes et avoue se plaire en Europe.

Lettre 39 : Hagi Ibbi parle de la naissance de Mahomet qui était la meilleure chose au monde, selon le choix de Dieu.

Lettre 40 : Usbek critique les oraisons funèbres car elles montrent tout ce qu’on perd. Il dit que l’homme n’a jamais de vrais sentiments car il ne se réjouit ni ne pleure jamais au bon moment.

Lettre 41 : Le premier eunuque noir prévient Usbek que l’homme qu’il voulait prendre pour remplacer un eunuque mort va lui écrire pour lui demander grâce. Il explique son choix et jure être objectif.

Lettre 42 : Lettre de Pharan qui demande grâce à Usbek, il ne veut pas être plus malheureux.

Lettre 43 : Usbek rend grâce à Pharan mais il le prévient qu’il doit être très bon servant s’il ne veut pas être sévèrement puni.

Lettre 44 : Usbek explique à Rhédi qu’il y a trois ordres en France et qu’ils se détestent cordialement juste parce qu’ils ne sont pas du même ordre. Il trouve cela stupide.

Lettre 45 : Rica raconte son aventure avec un homme qui achète tout ce qu’il veut et il lui dit avoir réussi à transformer la matière en or. Rica s’enfuit en colère. Il va rejoindre Usbek.

Lettre 46 : Usbek pense que respecter la religion c’est respecter l’homme car aucune religion n’est d’accord avec les autres. Il donne l’exemple de l’homme qui veut honorer Dieu et qui pour se faire décide d’être un bon citoyen et un bon père.

Lettre 47 : Zachi dit à Usbek qu’elle s’est réconciliée avec Zéphis et lui demande de revenir. Elle raconte aussi les périls rencontrés lors du voyage jusqu’à la campagne.

Lettre 48 : Il ne se dit pas oisif car il apprend sur la nature humaine. Il trouve bizarre le système de promotion française.

Lettre 49 : Rica lui raconte la volonté de certains Capucins de voir la Perse alors qu’il n’y a aucune raison.

Lettre 50 : Rica montre l’impertinence des hommes avec un exemple : cette personne n’arrête pas de se vanter et se dit très modeste.

Lettre 51 : Nargum donne de ses nouvelles à Usbek. Il est en Russie pour affaire. Il parle des coutumes étranges des pays comme celle que la femme battue est persuadée d’être aimée.

Lettre 52 : Rica constate que les femmes médisent les unes sur les autres afin de paraitre plus jeunes. Elles se mentent à elles-mêmes donc mentent aux autres.

Lettre 53 : Zélis annonce à Usbek que Cosrou va épouser Zélide. Elle ne semble pas enjouée par ce mariage, elle demande à Usbek de la guider sur cette affaire.

Lettre 54 : Rica retranscrit une conversation qu’il a surprise. Les hommes parlaient de s’associer afin de faire de « bons mots » et de passer pour des hommes d’esprits même s’ils ne le sont pas : il n’y a que l’apparence qui compte en France.

Lettre 55 : Il prouve que la constance en France est loin d’être un élément fondamental. Les maris ne sont pas jaloux, les femmes ne sont pas fidèles.

Lettre 56 : Usbek parle de la puissance du jeu en France dans lequel même les femmes se perdent.

Lettre 57 : Il parle des libertins et parle avec un casuiste qui lui explique défendre les petits péchés en les justifiant.

Lettre 58 : Rica expose tous les métiers qu’on peut trouver à Paris, aucun ne semble très moral.

Lettre 59 : conversation de vieilles femmes sur les jeunes hommes.

Lettre 60 : Usbek explique à Ibben qu’il y a aussi des juifs en Europe et qu’ils ne sont en rien différents des juifs de Perse. Il parle de religion.

Lettre 61 : Il a parlé avec un ecclésiastique qui a parlé de la difficulté de son état à cause de la cour. Il dit aussi qu’il faut toujours justifier de sa religion et trouver le juste milieu entre l’impiété et le fanatisme.

Lettre 62 : Zélis prévient Usbek qu’elle a fait entrer sa fille au sérail malgré ses sept ans pour qu’elle y soit habituée et ne souffre pas plus tard.

Lettre 63 : Rica se plaint de ne pas avoir vu Usbek depuis 15jours. Il dit en avoir appris beaucoup plus sur les femmes. En Europe, les gens sont plus vrais car ils ne sont pas forcés d’être comme on leur dit.

Lettre 64 : Le chef des eunuques demande une grande liberté à Usbek pour gérer le sérail car le désordre y règne ! Il appuie sa demande d’un exemple de grand chef eunuque.

Lettre 65 : Usbek écrit à sa femme qu’elles doivent changer de comportement si elles ne veulent pas qu’ils prennent des mesures drastiques.

Lettre 66 : Rica se plaint parce que certains hommes écrivent des livres sans raison : ils n’apportent aucun savoir.

Lettre 67 : Ibben écrit à Usbek. Il lui raconte l’histoire d’Aphéridon qui a tout fait pour rester avec l’amour de sa vie et trouver le bonheur.

Lettre 68 : Rica a diné chez un magistrat qui se dit plutôt libre. Il n’a aucun livre de loi. Il ne se méfie pas des avocats. Il prend son rôle à la légère.

Lettre 69 : Usbek explique à Rhédi qu’il ne comprend pas l’intérêt de la philosophie car on ne peut comprendre le monde que d’après les préceptes de Dieu d’après lui.

Lettre 70 : Zélis explique à Usbek que Solim a subi un grave affront. Il a donné sa fille en mariage et, après beaucoup de soucis, son mari l’a renvoyé sous prétexte qu’elle n’était pas vierge.

Lettre 71 : Usbek plaint son ami mais dit qu’il ne peut rien faire contre la loi. Il la félicite sur l’éducation de sa fille.

Lettre 72 : Rica se moque d’un homme qui sait tout et qui semble mieux connaitre la Perse que lui.

Lettre 73 : Il parle de l’Académie française qui, pour lui, n’a aucun sens et ne sert à rien.

Lettre 74 : Usbek parle de sa rencontre avec un grand du royaume qui montre sa supériorité sur tous. Usbek le trouve sot.

Lettre 75 : Usbek constate que les Chrétiens ont tendance à tourner la religion comme cela les arrange. Ils changent souvent d’avis.

Lettre 76 : Usbek ne comprend pas pourquoi le suicide est condamné. Il prouve que cela ne change rien aux plans divins et que donc ce n‘est pas grave.

Lettre 77 : Ibben écrit à Usbek qu’il vaut mieux souffrir pour sentir la présence de Dieu.

Lettre 78 : Rica retranscrit la lettre d’un Français en Espagne qui ne fait que critiquer ce pays mais il montre qu’un Espagnol en France en ferait tout autant et aurait de la matière : il cite les maisons de fous.

Lettre 79 : Le grand eunuque noir apprend à Usbek qu’il lui a acheté une nouvelle femme pleine de grâces.

Lettre 80 : Usbek cherche à savoir quel gouvernement mais il se rend compte que tous sont pareils et pas forcément les meilleurs pour la raison.

Lettre 81 : Nargum fait l’éloge des Tartares qui sont, d’après lui, les plus grands guerriers du monde à qui ils manquent des historiens.

Lettre 82 : Rica explique à Ibben qu’en France un homme qui sait parler pour rien dire et qui sait jouer de son apparence.

Lettre 83 : Usbek explique que la plus grande chance des hommes c’est la justice même s’ils ne respectent pas Dieu, ils la respectent pour pouvoir vivre libres.

Lettre 84 : Rica était aux Invalides. Ils les respectent plus que tout et admire leur courage et leur dévouement.

Lettre 85 : Usbek pense que la pluralité des religions dans un pays est une très bonne chose. Il ne comprend pas les gens qui veulent vous convertir alors que jamais ils ne se laisseraient convertir.

Lettre 86 : Rica est choqué par le pouvoir des femmes dans les tribunaux. Il ne comprend pas le système de la majorité car pour lui il n’y a que peu d’hommes qui soient justes.

Lettre 87 : Rica se moque des Français qui sont les animaux sociaux par excellence : beaucoup ne font que courir d’un côté à l’autre de la ville pour féliciter ou autre leurs amis et ceux du roi.

Lettre 88 : Usbek a compris que les grands de France sont oisifs, il n’y a que la faveur qui importe.

Lettre 89 : Usbek parle de gloire, cela est important pour l’homme et semble manquer en Perse.

Lettre 90 : Usbek tente d’expliquer ce qu’est le point d’honneur. Il parle des duels et de leur condamnation qui n’empêche pas l’honneur de vouloir triompher.

Lettre 91 : Il critique un ambassadeur perse qui s’est ridiculisé à Paris.

Lettre 92 : Le roi de France est mort. Il montre comment le régent a manipulé le peuple pour détourner le testament du feu roi qui ne l’avantagerait pas.

Lettre 93 : Usbek écrit à son frère, un religieux. Il parle de démons, de passions et de Satan.

Lettre 94 : Usbek parle du droit public plus présent en Europe qu’en Asie mais qui est d’après lui, corrompu.

Lettre 95 : Il explique son point de vue de la lettre précédente. Il explique également ce qu’est le droit public pour lui.

Lettre 96 : Le premier eunuque a acheté une belle femme pour le frère d’Usbek. Il est content des tensions que cela va créer dans le sérail. Il demande à Usbek de revenir pour soulager le travail des eunuques.

Lettre 97 : Usbek apprend à un dervis les théories des philosophies sur la nature. Il parle des bizarreries de l’Alcoran mais assure son adhésion à sa religion.

Lettre 98 : Il parle de l’instabilité du royaume et des changements rapides de statut. Il faut mépriser la richesse pour apprécier la vertu.

Lettre 99 : Rica parle du changement perpétuel dans la mode à Paris, tout est conditionné par le roi.

Lettre 100 : Il explique que les Français sont fiers de leur mode et qu’ils critiquent tout ce qui est étranger. Ils sont plus attachés à cela qu’à leurs lois, toutes empruntées à leur voisin.

Lettre 101 : Usbek montre l’idiotie des hommes qui parlent comme s’ils avaient de l’esprit.

Lettre 102 : Il parle des gouvernements. Il compare celui de Perse à celui de France. Le français est moins violent ?

Lettre 103 : Un européen disait à Usbek que le problème des Perses c’est que leur roi se cache et que, du coup, personne ne le connait et les Persans se sentent diriger par des esprits.

Lettre 104 : Il parle maintenant des Anglais qui fondent leur gouvernement sur la reconnaissance et la gratitude.

Lettre 105 : Rhédi critique l’usage que l’on fait des sciences avec par exemple la découverte de la poudre et de la bombe qui empêche quiconque d’être en sureté.

Lettre 106 : Usbek reproche à Rhédi son point de vue sur l’art. Pour lui, l’art est nécessaire et fait la puissance d’un prince.

Lettre 107 : Rica explique à Ibben qu’il a parlé au jeune prince : il faut attendre de voir s’il se fera gouverné par les femmes comme cela semble être le cas pour tout le monde en France.

Lettre 108 : Usbek parle des journaux qu’il trouve sans intérêt car ne traitant que des livres nouveaux et sans la moindre critique pour ne pas se mettre à dos les écrivains.

Lettre 109 : Rica parle de la querelle sans importance qui a eu lieu à l’Université de Paris sur la lettre « Q ». Il constate que plus il y a de sages dans un lieu, plus il y a de sagesse.

Lettre 110 : Rica parle de l’ennui que provoque la longue provocation d’une femme qui veut des compliments.

Lettre 111 : Usbek retranscrit un discours auquel il ne comprend rien : un général veut se débarrasser de Mazarin grâce à des chansons parce qu’il ne parle pas bien français ?

Lettre 112 : Rhédi pense que la Terre est malade car lorsqu’il compare les histoires anciennes aux modernes, il constate une grande dégradation et un dépeuplement important.

Lettre 113 : Usbek répond à Rhédi en parlant des causes physiques avec les différentes catastrophes de la Terre dues à son mouvement.

Lettre 114 : Usbek explique aussi le dépeuplement par des changements moraux. Il montre que la polygamie ainsi que les eunuques contribuent à ce problème.

Lettre 115 : Usbek explique ensuite que le problème vient également du mauvais usage actuel des esclaves : ils ne font pas de commerce, sans commerce pas de prospérité et donc moins de fertilité.

Lettre 116 : Usbek montre que ce qui cause ce dépeuplement chez les Chrétiens : c’est l’interdiction du divorce : cela empêche les couples qui ne s’aiment plus de procréer.

Lettre 117 : Le second problème d’après Usbek est le célibat des hommes d’église chrétiens. Il montre que les protestants sont plus nombreux à cause de cela.

Lettre 118 : Il passe à l’Afrique dont ils ne connaissent que les côtes. Il parle du trafic d’esclaves qui ne profite même pas à l’Amérique.

Lettre 119 : Il montre que certains peuples sont plus féconds que d’autres à cause de croyances ou de rites plus ou moins intelligents.

Lettre 120 : Usbek parle maintenant des peuples de Sauvages qui ne sont pas très peuplé à cause de famines fréquentes et de l’habitude des femmes à avorter.

Lettre 121 : Usbek explique qu’il est toujours mauvais de déplacer un peuple car celui-ci a beaucoup de chances. De plus, il explique le dépeuplement par la volonté de conquêtes qui sont aussi funestes pour le conquis que pour le conquérant.

Lettre 122 : Usbek montre aussi que le climat social du pays joue sur sa fécondité : un pauvre aura moins tendance à faire d’enfants.

Lettre 123 : Usbek se pose des questions sur sa religion. Il sait que les imams veulent convertir le monde.

Lettre 124 : Usbek ne comprend pas pourquoi les gens à la Cour sont s riches. Il voit bien le prince interdire tous plaisirs à ses sujets pour pouvoir être généreux avec ses courtisans.

Lettre 125 : Rica parle du Paradis et montre le peu d’imagination des hommes. Il parle de cette femme qui voulait se brûler et qui y renonce pour ne pas retrouver son mari mort depuis peu.

Lettre 126 : Rica annonce à Usbek la chute de leur prince ? Il est plein de tendresse pour celui-ci.

Lettre 127 : Il montre l’effet des ministres sur le roi en parlant de l’exemple du roi de Suède.

Lettre 128 : Rica expose l’anecdote du géomètre à Usbek. Le géomètre se sent supérieur aux autres, il se croit plus utile et plus intelligent.

Lettre 129 : Usbek parle du bien-fondé des lois qui sont les seules choses vraiment importantes. Il critique la France qui a emprunté les plus mauvaises lois romaines et pas la puissance paternelle.

Lettre 130 : Rica parle des nouvellistes qui ne sont d’aucune utilité et qui se croient importants : il s’appuie sur des lettres d’un nouvelliste pour prouver ce qu’il dit.

Lettre 131 : Rhédi explique l’origine des républiques en Europe. Il semble préférer ce gouvernement au despotisme asiatique.

Lettre 132 : Rica constate que les hommes ne font que se plaindre, peu importe les circonstances. Il n’y a que les philosophes qui sont différents.

Lettre 133 : Rica a visité une bibliothèque dans un couvent. L’homme n’a même pas lu les livres, c’est un homme qui lui est inférieur qui le fait.

Lettre 134 : Il est retourné à la bibliothèque et a rencontré un autre dervis qui s’est mis à lui parler des livres en toute franchise.

Lettre 135 : Ils reprennent leur entretien. Ils parlent des autres livres : ils arrivent à l’astrologie qui guide la Perse ce qui semble être une erreur pour le dervis.

Lettre 136 : Nouvel entretien avec le dervis qui cette fois lui parle des livres d’histoire de tous les pays.

Lettre 137 : La dernière rencontre a lieu aux rayons des poètes que le dervis semble déprécier. Rica lui parle des romans perses très ennuyeux.

Lettre 138 : Rica parle des impôts et de leurs conséquences sur le peuple.

Lettre 139 : Rica admire la reine de Suède qui a quitté sa fortune pour suivre son cœur.

Lettre 140 : Rica parle des parlements qui vont être relégués dans des petites villes. Il comprend la difficulté des hommes à annoncer de mauvaises nouvelles au prince.

Lettre 141 : Rica a fait traduire un conte perse pour une femme de la Cour : celui-ci parle d’un homme très jaloux qui a rendu les femmes de son sérail malheureuses et de la vengeance de l’une d’elle.

Lettre 142 : Rica a reçu une lettre d’un mythologiste qui dépense sans compter pour des objets d’avant la décadence. Il joint à sa lettre, celle sur Eole et l’arnaque de son fils.

Lettre 143 : Rica a une conversation avec un médecin juif. Il lui montre qu’ils n’ont pas les mêmes méthodes. Anecdote du médecin de campagne.

Lettre 144 : Rica honore les hommes modestes et dénigrent les impertinents.

Lettre 145 : Usbek montre à quel point il est difficile de vivre en société pour un homme d’esprit.

Lettre 146 : Usbek montre les conséquences que peuvent avoir un mauvais ministre sur son peuple s’il ne donne pas l’exemple.

Lettre 147 : Le grand eunuque annonce de tristes nouvelles à Usbek. Le chaos règne au sérail et il ne sait que faire.

Lettre 148 : Usbek donne les pleins pouvoirs au grand eunuque afin qu’il rétablisse l’ordre et la vertu.

Lettre 149 : Le grand eunuque est mort. Narsit demande s’il doit prendre sa place. Il n’a pas lu la lettre précédente d’Usbek.

Lettre 150 : Usbek maudit Narsit et le presse d’exécuter les ordres qu’il avait donnés au grand eunuque.

Lettre 151 : Solim écrit à Usbek sur la décadence de son sérail et toutes les perfidies qui s’y passent. Il demande le pouvoir pour essayer d’arranger cela.

Lettre 152 : Narsit écrit à Usbek que tout va très bien dans son sérail et qu’il n’a pas eu sa lettre.

Lettre 153 : Usbek donne à Solim les pleins pouvoirs pour expier son sérail et servir sa vengeance.

Lettre 154 : Usbek prévient ses femmes qu’elles doivent obéir à Solim et qu’elles sont punies.

Lettre 155 : Usbek écrit à son ami qu’il est dépité. Il veut rentrer pour revoir sa patrie mais a peur de ce qu’il va y trouver.

Lettre 156 : Roxane écrit à Usbek pour se plaindre de la dureté de la vie au sérail. Veut-elle se donner la mort ?

Lettre 157 : Zachi se plaint des humiliations subies. Elle veut le retour d’Usbek pour vivre ou pour mourir s’il la croit coupable.

Lettre 158 : Zélis en veut à Usbek de la croire coupable alors qu’il est loin. Elle lui dit de ne plus l’aimer.

Lettre 159 : Solim écrit à Usbek qu’il doit être traité en traitre car il n’a pas réussi sa mission : il a trouvé Roxane dans les bras d’un homme. Ils l’ont tué.

Lettre 160 : Solim annonce à Usbek qu’il a pris la décision de punir.

Lettre 161 : Roxane admet à Usbek qu’elle l’a trompé. Elle le force presque à l’admirer. Elle l’a toujours haït. Le poison fait effet, elle meurt en écrivant la lettre.

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Beaumarchais - Le mariage de Figaro (18e siècle)

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Le mariage de Figaro de Beaumarchais

Personnages principaux

  • Le comte Almaviva
  • La comtesse
  • Figaro
  • Suzanne
  • Marceline
  • Antonio
  • Fanchette
  • Chérubin
  • Bartholo
  • Bazile
  • Don Gusman Brid’oison
  • Double-main
  • Grippe-soleil
  • Pédrille

Résumé par actes

Acte 1 : Suzanne a hâte d’épouser Figaro. Celle-ci ne veut pas de cette chambre qui est trop près de celle du comte. Elle explique à Figaro que ce dernier veut la courtiser. Figaro va-t’il entreprendre quelque chose ? Figaro va se venger du comte et de Bazile à la fois. Il se doutait bien que toutes ces promotions cachaient quelque chose. Figaro fait tourner le docteur Bartholo en bourrique. Il intrigue celui-ci en adressant une phrase à Marceline. Marceline demande son aide à Bartholo. Elle veut épouser Figaro mais pour cela il faut que le comte n’ait pas Suzanne afin qu’il annule le mariage. L’idée de vengeance plait à Bartholo. Suzanne surprend leur conversation. Elle fait comprendre à Marceline que celle-ci n’a aucune chance. Marceline tente de semer le doute chez Suzanne ? Suzanne critique Marceline qui veut tout diriger. Cette conversation l’a un peu troublée, elle ne sait plus ce qu’elle cherchait. Chérubin annonce à Suzanne qu’il va être congédié. Il séduit toutes les femmes. Il vole le ruban de Madame. Suzanne veut le récupérer sans succès. Il sa cache à l’approche du comte. Le comte veut parler de son amour à Suzanne. Elle ne veut pas l’écouter. Bazile cherche le comte qui est caché. Il parle de l’amour de ce dernier. Les deux hommes cachés sont trouvés. Chérubin est chassé et le comte veut annuler le mariage. Figaro piège le comte en le forçant à approuver le mariage et à donner un poste de capitaine à Chérubin. Le comte compte sur Marceline pour empêcher cette union. Figaro retient Bazile et Chérubin. Il veut qu’ils répètent leur rôle. Il sait que Bazile veut le trahir.

Acte 2 : Suzanne avoue tout à la comtesse. Celle-ci refuse que l’ennui de son époux gâche le mariage de sa servante. Elle veut en parler avec Figaro. Elles ont un peu parlé de Chérubin. Figaro ne semble pas perturbé par cette affaire. Il réconforte les deux dames en leur exposant son plan. Il va se servir de Chérubin. La comtesse qui va accueillir Chérubin se trouve mal arrangée. Suzanne la rassure. Chérubin arrive tout tremblant. Il chante la romance accompagnée de Suzanne. Elle commence à le transformer en elle. La comtesse lui dit qu’il ne part pas de suite. L’ordre n’est pas cacheté. Suzanne trouve Chérubin joli en femme. Le ruban volé est taché de sang. Pourquoi la comtesse est-elle agacée ? La comtesse dit à Chérubin qu’elle était triste d’avoir perdu ce ruban. Suzanne pense à tous les éléments, la comtesse lui donne des solutions. Chérubin veut récupérer le ruban mais la comtesse ne l’écoute pas. Elle le coupe avant qu’il ne se laisse aller à avouer son amour. Le comte arrive, il n’apprécie pas que la porte soit fermée. Chérubin a peur, la comtesse est troublée. La comtesse comprend sa faute ? Le comte soupçonne sa femme de le tromper. Il est très jaloux. Le comte veut voir Suzanne. La comtesse en joue pour qu’il n’ouvre pas la porte du cabinet dans lequel est caché Chérubin. La comtesse lui fait croire qu’il s’agit de Suzanne. Le comte veut éviter le scandale mais avoir le fin mot de l’histoire. Il part avec la comtesse en fermant tout à clé afin d’aller chercher ce qu’il lui faut pour ouvrir le cabinet. Suzanne fait sortir Chérubin. Celui-ci va passer par la fenêtre pour ne pas perdre la comtesse. Suzanne craint qu’il ne se tue. Suzanne prend la place de Chérubin et attend que le comte revienne. La comtesse ne sachant pas que Suzanne a fait sortir Chérubin avoue tout au comte. Celui-ci entre dans une fureur noire. Le comte ouvre et trouve Suzanne. Suzanne se moque du comte qui face à l’étonnement de sa femme entre dans le cabinet. Suzanne rassure sa maitresse sur le sort de Chérubin. La comtesse lui fait croire qu’elle a joué un rôle afin de le punir de l’impertinence qu’il a eue de la croire infidèle : le comte fait tout pour se faire pardonner. La comtesse finit par accepter ses excuses. Les deux femmes tentent de prévenir Figaro qu’elles ont tout dit pour le billet. Figaro veut qu’on les marie. Le comte attend toujours sur Marceline. La comtesse a hâte de marier Suzanne et Figaro. Antonio arrive et dit que quelqu’un a sauté par la fenêtre. Figaro, avec l’aide de la comtesse et de Suzanne, réussit à tromper encore une fois le comte qui commence à douter. Il n’a toujours pas ordonné le mariage. Marceline arrive, elle fait valoir ses droits sur Figaro. Le comte va juger l’affaire et interrompt les noces jusqu’à ce que la justice soit rendue. Bazile veut épouser Marceline et il compte bien y arriver. La comtesse ne veut plus exposer Chérubin. Elle va aller elle-même au jardin et ainsi prouver au comte son infidélité. La comtesse se remet en question et se trouve courageuse. Suzanne est maintenant sure de son mariage grâce à la comtesse. Celle-ci ne veut pas que Figaro soit au courant du changement de plan.

Acte 3 : Le comte a confié quelque chose à Pédrille. Le comte rappelle Pédrille. Le paquet contient le brevet pour Chérubin. Le comte saura alors si ce dernier est vraiment parti. Le comte analyse toute l’affaire. Il sent que quelque chose lui échappe. Il va sonder Figaro pour voir s’il sait quelque chose de son amour pour Suzanne. Au début, le comte croit que Figaro ne sait rien mais la situation s’inverse à la fin. Figaro a-t’il vu où le comte voulait en venir ? Le juge est annoncé. Figaro décrit la pièce en demandant au comte ce qu’il peut manquer. Le comte a bien l’intention d’empêcher le mariage. Suzanne arrive à faire comprendre au comte qu’elle accepte son rendez-vous. Il n’y voit que du feu. Suzanne annonce à Figaro qu’il a gagné son procès. Le comte a entendu la brève conversation entre Figaro et Suzanne. Il veut les piéger. Marceline explique à Brid’oison la cause du procès. Elle ne veut pas récupérer son argent, elle veut l’épouser. Figaro connait Brid’oison. Il a l’air de le manipuler comme il veut. Brid’oison explique pourquoi il est en robe même si c’est une affaire domestique : il faut respecter la forme. Procès. Figaro se défend. Il arrive où il veut mais le comte le piège en le forçant à rembourser Marceline ou à l’épouser. Antonio est content : Figaro ne sera pas son neveu. Figaro si dit noble et montre la marque de son bras. Marceline et Bartholo le reconnaissent comme leur fils issu d’une erreur de jeunesse. Le mariage ne peut plus avoir lieu. Suzanne arrive pour rembourser Marceline avec sa dot venant de la comtesse. Suzanne fait une scène de jalousie avant de comprendre que Marceline est la mère de Figaro. Antonio refuse de donner Suzanne à Figaro car ses parents ne sont pas mariés. Marceline, Suzanne et Figaro réussissent à convaincre Bartholo d’adopter Figaro. Brid’oison trouve les autres très malpolis.

Acte 4 : Figaro et Suzanne sont heureux de l’issue des choses. Ils se parlent d’Amour et de sermons inviolables. La comtesse arrive et rappelle à Figaro qu’il est attendu. La comtesse veut quand même aller au rendez-vous. Suzanne doit écrire au comte, cela le rebute un peu. Elle voit que la comtesse a gardé le ruban taché du sang de Chérubin. Fanchette arrive avec les fleurs. Chérubin est déguisé en fille et les accompagne. La comtesse lui baise le front. Sait-elle qui il est ? Antonio démasque Chérubin devant le comte. La comtesse est très surprise. L’aveu de Fanchette retourne encore une fois la situation contre le comte en dévoilant une nouvelle infidélité. Le comte et Antonio mènent l’enquête. Il montre Chérubin à Figaro. Celui-ci ne se laisse pas démonter. Il emmène tout le monde pour la noce. Le comte laisse Chérubin partir. Le comte demande à la comtesse de rester avec lui. Il va devoir supporter les deux mariages qu’il n’a pas pu empêcher. C’est le mariage. Figaro se rend compte que le comte a eu un billet doux. Bazile arrive à grand renfort. Figaro part à sa rencontre. Joute verbale entre Bazile et Figaro, quand il apprend que celui-ci est le fils de Marceline, il ne veut plus l’épouser. Le comte va signer les contrats pour le mariage car il sait que Suzanne l’attendra. Grippe-soleil et Figaro parlent du feu d’artifice sous le marronnier. Le comte, sous prétexte de penser à sa femme, le fait préparer sur la terrasse. Marceline s’excuse auprès de Figaro de son comportement avec Suzanne. Il a une belle philosophie vis-à-vis de la jalousie. Fanchette cherche Suzanne pour lui remettre l’épingle. Figaro la voit et fait tout de suite le lien avec le billet du comte. Marceline calme Figaro en lui disant d’observer avant de condamner. Il va aller sur le lieu du rendez-vous. Marceline veut aider Suzanne car elle n’est plus sa rivale.

Acte 5 : Fanchette arrive sur le lieu du rendez-vous, elle a à manger pour Chérubin mais s’enfuit quand elle voit Figaro. Ils croisent les invités et les « renvoie » pour pouvoir à sa guise observer le rendez-vous qui se prépare. Figaro parle à lui-même. Il retrace toute son histoire, ses difficultés pour en arriver là. Il aime vraiment Suzanne. Suzanne sait que Figaro est là. Marceline se cache au même endroit que Fanchette. Suzanne et la comtesse font mine de se séparer. Chérubin arrive et fait capoter le plan. Figaro croit épouser une friponne mais le baiser de Chérubin a été donné au comte. Le comte finit sa cour à la comtesse qu’il prend pour Suzanne. Figaro enrage. Il veut les surprendre mais ils fuient tous deux. Suzanne veut se venger en se faisant passer pour la comtesse mais Figaro l’a reconnue. Il aime tendrement sa femme et inversement. Elle lui raconte le piège tendu au comte. Figaro et Suzanne, toujours déguisée en comtesse, jouent un tour au comte. Sa jalousie est impulsive. Le comte attrape Figaro. Pédrille revient et annonce qu’il n’a pas tourné la page. Le comte demande des explications à Figaro devant tout le monde. Celui-ci se joue encore du comte qui entre dans le pavillon. Brid’oison cherche à comprendre mais Figaro le rassure en riant. Le comte ressort du pavillon avec Chérubin. Il envoie Antonio. Le comte est persuadé que Chérubin n’était pas seul. Antonio ressort avec Fanchette. Il en veut un peu au comte parce que c’est sa fille. Bartholo est le suivant à entrer. Bartholo trouve Marceline. Le comte s’en moque, il cherche la comtesse. Le comte attrape Suzanne et veut la punir, tous se mettent à genoux. Les choses sont remises à leur place. Le mariage a lieu. Le comte a compris qu’il s’est encore fait piéger.

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Voltaire - Zaïre (18e siècle)

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Zaïre de Voltaire

Personnages principaux

  • Orosmane
  • Lusignan
  • Zaïre
  • Fatime
  • Nérestan
  • Châtillon
  • Corasmin
  • Mélédor
  • Un esclave

Résumé par actes

Acte 1 : Fatime espère le retour de leur sauveur. Zaïre lui avoue qu’elle et Orosmane s’aiment. Elle renie la religion chrétienne pour lui et est prête à être musulmane. Fatime tente de l’en dissuader. Orosmane déclare sa flamme à Zaïre. Il lui demande de l’aimer aussi fort qu’il l’aime. Il n’a que deux amours : elle et la guerre. Corasmin annonce un chrétien mais ne veut pas le faire entrer. Orosmane est tolérant, il ne veut pas être « un tyran invisible ». Nérestan demande la libération promise. Orosmane lui accorde 100 chevaliers pour rien mais ne veut ni libérer Zaïre ni Lusignan. Nérestan est outré. Orosmane va faire préparer le mariage. Orosmane a surpris un regard entre Nérestan et Zaïre. Il dit qu’il n’est pas jaloux mais qu’en est-il vraiment ?

Acte 2 : Nérestan dit à Châtillon qu’ils sont tous libres sauf leur chef ce qui déçoit Châtillon. Il dit aussi que Zaïre préfère Orosmane. Châtillon lui dit de se servir d’elle pour libérer leur héros ce qui semble le dégouter. Zaïre arrive et demande pardon à Nérestan. Elle lui apprend qu’elle a obtenu la libération de leur chef. Il la trouve vertueuse et infidèle. Lusignan veut retrouver son fils et sa fille rescapés. Il s’agit en fait de Nérestan et de Zaïre. Il regrette qu’elle soit musulmane. Elle finit par dire qu’elle est chrétienne. Ils doivent se séparer. Lusignan fait promettre à Zaïre de garder le secret.

Acte 3 : Orosmane dit à Corasmin qu’il fait tout pour Zaïre. Il lui accorde même un entretien secret avec Nérestan. Il l’aime sincèrement. Corasmin semble plus craintif à cause de la libération de Lusignan. Corasmin dit à Nérestan que Zaïre veut le voir. Nérestan se plaint de la laisser au sérail. Nérestan et Zaïre parlent d’elle. Il comprend qu’elle aime Orosmane. Elle jure de ne pas l’épouser sans avoir été baptisée. Lusignan est en train de mourir. Zaïre est seule et perdue. Elle aime Orosmane et veut honorer sa religion. Orosmane vient chercher Zaïre pour le mariage. Celle-ci ne sait que faire, elle demande un délai et sort après avoir réaffirmer qu’elle ne veut pas lui déplaire. Orosmane est jaloux, violent. Il n’aime pas qu’on le trahisse. Il ne doute pas de Zaïre mais veut l’oublier. Il en, veut pas être dirigé par sa maîtresse.

Acte 4 : Discussion entre Fatime et Zaïre. Elle regrette son acte. Elle aime Orosmane plus que tout mais ne veut pas trahir son secret. Fatime ne comprend pas que Zaïre préfèrerait mourir. Orosmane vient annoncer à Zaïre que c’est fini lorsqu’il comprend qu’elle l’aime. Il lui accorde une dernière grâce. Elle lui dit qu’il saura ses secrets le lendemain. Orosmane doute, il ne sait que penser de l’attitude de Zaïre. Mélédor apporte une lettre destinée à Zaïre qu’il a interceptée. Il a mis dans les fers le chrétien qui la portait. Orosmane a peur de ce qu’il va lire. La lettre est épouvante pour Orosmane. Corasmin le force à tuer Zaïre et Nérestan. Orosmane veut voir comment Zaïre va agir. Il ne veut plus la voir pour ne pas être déstabilisé dans son choix. Zaïre dit une fois de plus son amour pour Orosmane. Il dit qu’elle se parjure, elle s’en défend, il al renvoie. Orosmane dit être encore amoureux de Zaïre. Il veut mettre Nérestan au supplice mais garder Zaïre en liberté.

Acte 5 : Orosmane tend un piège à Zaïre, il lui fait parvenir la lettre. Zaïre la lit. Elle veut parler à Fatime qui renvoie l’esclave. Fatime reproche à Zaïre son amour. Elle ne veut pas trahir ses vœux et va aller rejoindre son frère. Après quoi, elle veut tout avouer à Orosmane. Elle cherche l’appui et le secours de Dieu. Zaïre dit à l’esclave de prévenir Nérestan qu’elle l’attend. Elle ne sait pas qu’il est au service d’Orosmane. L’esclave lui dit tout. Orosmane congédie tout le monde en disant qu’il hait tous les êtres humains. Orosmane se pose des questions. Il rappelle Corasmin. Il ne veut pas que Zaïre jouisse. Orosmane veut se venger. Il l’aime plus que tout. Il pleure pour la première fois. Il parle de sang. Il fait arrêter Nérestan. Orosmane voit Zaïre. Il court à elle et la poignarde pour se venger. Orosmane apprend la vérité, il est triste. Il libère tous les chrétiens. Nérestan, dans sa peine, le plaint presque. Il se tue.

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Voltaire - Zadig (18e siècle)

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Zadig de Voltaire

Personnages principaux :

  • Le roi Moabdar
  • Zadig
  • Sémire
  • Orcan
  • Azora
  • La veuve Cosrou
  • Cador
  • L’Envieux
  • L’Envieuse
  • Coreb
  • La reine Astarté
  • Missouf
  • Sétoc
  • Almona
  • Arbogad
  • Ogul
  • Orosmade
  • Itobad
  • Otame
  • L’ange Jesrad
  • Nabussan

Résumé par chapitres

Chapitre 1 : Zadig est un homme intelligent et vertueux. Il est amoureux de Sémire. Orcan est jaloux de lui. Il tente d’enlever Sémire. Zadig la défend, il est blessé à l’œil. Tout le monde dit qu’il va le perdre alors qu’il guérit. Sémire à épouser Orcan. Il épouse alors Azora mais il se méfie de sa légèreté.

Chapitre 2 : Azora critique la veuve Cosrou d’avoir voulu détourner le ruisseau pour adoucir son deuil. Zadig, pour tester cette vertu, se fait passer pour mort. Alors que son ami Cador dîne avec elle, il se plaint d’un mal de rate. Le seul remède est le nez d’un homme mort la veille. Elle est prête à couper le nez de Zadig

Chapitre 3 : Zadig est interrogé sur la disparition de la chienne de la reine et du cheval du roi. Il est condamné pour avoir volé ceux-ci juste parce qu’il est savant et quand un voleur passe et ne dit rien, il est aussi puni. Il en conclut qu’il est difficile d’être heureux.

Chapitre 4 : L’Envieux fait enfermer Zadig pour des vers dont il n’a pas la totalité. C’est l’oiseau de roi qui sauve Zadig et ses amis de la mort. Le roi l’apprécie de plus en plus. Zadig est comme un conseiller. La reine le regarde avec trop de complaisance.

Chapitre 5 : Le roi doit, lors d’une fête, récompenser l’homme le plus généreux de son royaume. On lui en cite plusieurs mais Zadig n’est pas de ceux-là pourtant c’est lui que le roi désigne. Zadig se dit qu’il est « enfin heureux ».

Chapitre 6 : Zadig est fait Premier ministre. Il juge de nombreuses affaires dans le respect des lois et en cherchant toujours la vérité. Il est le plus juste possible et préfère « sauver un coupable que […] condamner un innocent. »

Chapitre 7 : Zadig règle quelques querelles grâce à sa logique et sa raison. Il est un peu distrait lors des audiences, il offense la femme de l’Envieux qui veut se venger. Il donne ses grâces à une servante de la reine. Fait-il un rêve prémonitoire ?

Chapitre 8 : Zadig et la reine comprennent qu’ils s’aiment sans rien avoir avouer. Le roi, très jaloux, ordonne leur mort mais l’un de ses serviteurs prévient la reine qui demande à Zadig de partir pour sauver sa vie. Cador promet de s’occuper de tout. Zadig se dit malheureux.

Chapitre 9 : Zadig arrive en Egypte. Il trouve une femme qui se fait battre. Elle lui demande son aide. Il tue l’homme violent ce qu’elle lui reproche. Quatre Babyloniens enlèvent cette femme mais Zadig ne lui porte plus secours.

Chapitre 10 : Zadig, à cause de la mort de l’homme brutal Clétofis, est vendu comme esclave à Sétoc. Grâce à ses connaissances, il devient vite de bon conseil pour son maître. Il réussit à récupérer les sous que devait un Hébreux à son maître.

Chapitre 11 : Sétoc fait de Zadig son ami. Celui-ci lui montre à quel point sa sagesse est grande. Il réussit à abolir l’horrible tradition : « le bûcher de veuvage »

Chapitre 12 : Sétoc emmène Zadig à Balzora. Tous se disputent sur leurs dieux et leur ancienneté dans le monde. Zadig réussit à les convaincre qu’ils adorent tous la même chose. A son retour, il apprend qu’il doit être brûlé à petit feu.

Chapitre 13 : Il est jugé par les prêtres et même Sétoc ne peut rien faire. Almona, qu’il avait sauvée du bûcher, réussit à le sauver. Sétoc devient son époux et Zadig continue son chemin vers la Syrie.

Chapitre 14 : Zadig arrive sur les terres d’Arbogad, voleur riche et heureux, qui le laisse libre parce qu’il est brave. Zadig apprend que le roi Moabdar est mort, il ne sait pas ce qui est arrivé à la reine. Il en est très éprouvé.

Chapitre 15 : Zadig rencontre un pêcheur malheureux au bord du suicide. Zadig lui remonte le moral. Il l’envoie chez Cador. Il apprend que personne ne sait ce qui est arrivé à la reine. Il est toujours aussi malheureux.

Chapitre 16 : Il retrouve Astarté qui est au service d’Ogul. Elle lui raconte ses malheurs et comment Missouf est devenue une reine tyrannique. Zadig soigne Ogul, sauve Astarté et évite l’empoisonnement grâce à elle.

Chapitre 17 : Il y a un combat de bravoure et d’esprit à Babylone pour être roi. Zadig gagne le combat seulement un des perdants lui vole son armure en lui laissant la sienne : il est tué. Zadig repart sur les routes en étant toujours aussi malheureux.

Chapitre 18 : Zadig chemine avec l’ermite. Il est choqué de ce qu’il fait : vol, incendie, meurtre,… L’ermite est en fait un ange qui apprend à Zadig que tout est un bien nécessaire et qui lui conseille de retourner à Babylone.

Chapitre 19 : Zadig répond à toutes les énigmes et prouve en battant Itobad qu’il est le propriétaire de l’armure blanche. Il devient un roi aimé de tous qui adore le Ciel.

Chapitre 20 : Zadig doit aller régler des problèmes d’ordres financiers. Il aide Nabussan à trouver un trésorier honnête grâce à la danse. Il envoie un message pour avoir des nouvelles d’Astarté. Il promet de trouver l’amour à Nabussan.

Chapitre 21 : Ce chapitre ainsi que le chapitre 20 sont à placer après le chapitre 12. Zadig aide Nabussan à trouver une femme qui l’aime pour son âme, il l’aide aussi à gagner la guerre mais les puissants veulent sa perte et Nabussan commence à douter de lui

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Voltaire - Micromégas (18e siècle)

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Micromégas de Voltaire (in Zadig)

Personnages principaux :

  • Micromégas
  • Le secrétaire de l’Académie de Saturne

Résumé par chapitres

Chapitre 1 : Micromégas est très grand et très intelligent. C’est un habitant de Sirius. Il est banni de la cour à cause d’un livre. Il parcourt la galaxie et lie des liens d’amitié avec les Saturniens.

Chapitre 2 : Le Sirien et le Saturnien parlent ensemble et comprennent que peu importe ce qu’on a, il nous manque toujours quelque chose. Ils décident de partir en voyage ensemble.

Chapitre 3 : La maîtresse du Saturnien lui fait une crise mais cela ne l’empêche pas de partir. Ils visitent Jupiter, délaissent Mars et débarquent sur Terre le 5 juillet 1737

Chapitre 4 : Ils parcourent la Terre et comme ils n’y voient ni n’y sentent rien, le Saturnien suppose que personne n’y vit. Micromégas tente de lui prouver le contraire. Ils se disputent. Ils se servent des diamants du collier cassé comme loupe et découvrent une baleine et quelque chose de plus gros.

Chapitre 5 : Ils attrapent un bateau mais ne voient pas tout de suite les hommes qui sont dessus car ils sont beaucoup trop petits. Ils finissent par les voir et en sont tout excités.

Chapitre 6 : Ils trouvent un moyen de communiquer avec les hommes. Ils sont étonnés de voir qu’ils sont capables de parler, de mesurer et donc de penser. Ils sont intelligents malgré leurs tailles. Ils lient une conversation intéressante avec les hommes du bateau qui sont des philosophes.

Chapitre 7 : Ils parlent de ce qu’est l’âme. Personne ne sait réellement répondre à la question. Micromégas trouve les hommes orgueilleux. Il leur crée un livre de philosophie qui est en fait « tout blanc » ce dont ne doutait pas le secrétaire.

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Voltaire - Nanine (18e siècle)

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Nanine de Voltaire

Personnages principaux :

  • Le comte d’Olban
  • La baronne de l’Orme
  • La marquise d’Olban
  • Nanine
  • Philippe Hombert
  • Blaise
  • Germon
  • Marin

Résumé par actes

Acte 1 : Le comte d’Olban et la baronne de l’Orme se disputent, elle veut qu’il aime. Il parle de Nanine dont elle pense qu’il est amoureux. Il se moque des préjugés, il clamerait son amour pour n’importe qui sur les toits. Blaise veut se marier. Le comte d’Olban est d’accord jusqu’à ce qu’il apprenne que c’est avec Nanine. Il ne donne pas de réponse à Blaise. Blaise demande à la baronne de l’Orme de l’aider à avoir Nanine. Ceci plaît à la baronne de l’Orme mais va-t-elle réussir ? En tout cas, elle va essayer. La baronne de l’Orme veut examiner sa rivale car elle sait que le comte d’Olban l’aime vraiment. La baronne de l’Orme trouve Nanine belle et intelligente. Cela la met en colère. Nanine va aller au couvent, elle le veut. Est-ce juste pour éviter d’épouser Blaise ? Nanine veut partir même si elle risque d’en mourir. Elle ne veut pas troubler la maison de son maître. Nanine et le comte d’Olban parlent. Il veut l’épouser. C’est très dur pour elle. Elle ne lui dit pas qu’elle va au couvent lais lui demande si elle peut garder les présents. La baronne de l’Orme fait appeler Nanine. Elle quitte le comte d’Olban à regret. Il ne comprend pas. Le comte d’Olban dit à Germon de donner de l’argent à Nanine. Le comte d’Olban accepte d’être le rival de Blaise. Il croit en l’égalité de l’homme.

Acte 2 : Le comte d’Olban demande à Marin, un de ses hommes, de faire des « courses » pour lui. Marin pense à un mariage avec la baronne de l’Orme. Le comte d’Olban ne lui répond pas. Le comte d’Olban apprend par Germon que la baronne de l’Orme emmène Nanine au couvent. Il les fait arrêter et convoque Nanine. Nanine avoue qu’elle allait au couvent pour ne pas épouser Blaise ni quiconque. Le comte d’Olban lui dit qu’il veut l’épouser. Elle ne veut pas pour son honneur à lui, il insiste, il ne veut pas qu’elle refuse : tout est déjà prévu. Nanine ne sait pas si elle doit ou non l’épouser même si elle l’aime. Elle écrit une lettre. A qui ? Pour demander quoi ? Nanine confie à Blaise un colis, une lettre et une bourse qu’il doit remettre en main propre à Philippe Hombert. Blaise croise la baronne de l’Orme. Il lui laisse la lettre et part avec l’argent en pensant être intelligent. La baronne de l’Orme lit la lettre. Est-ce une lettre d’amour pour Philippe Hombert ? Nanine trahit-elle le comte d’Olban ? La baronne de l’Orme est heureuse. La baronne de l’Orme est mesquine. Elle a donné la lettre de Nanine au comte d’Olban. Que va-t-il faire ? La mère du comte d’Olban arrive. Le comte d’Olban demande à Germon ce que fait Nanine et lui dit de la chasser. La baronne de l’Orme profite de l’état du comte d’Olban. Elle veut qu’il la marie. Sa mère est là, il ne manque que le notaire. La marquise d’Olban veut parler à son fils en privé. La baronne de l’Orme ne l’aime pas. La marquise d’Olban pense son fils un peu dérangé. La marquise d’Olban ne veut pas de la baronne de l’Orme comme bru. Elles se détestent cordialement. Elle veut se renseigner sur elle. La lettre déboussole le comte d’Olban. Germon dit qu’il a chassé Nanine, cela ne plaît pas du tout à la marquise d’Olban ni même l’idée du mariage avec la baronne de l’Orme. Le comte d’Olban est perdu. Ecoute-t-il seulement sa mère ?

Acte 3 : Germon est inquiet pour Nanine : il l’apprécierait. Tout le monde est triste de son  départ. Elle n’en veut ni au comte d’Olban ni à la baronne de l’Orme. C’est une fille bien. Le comte d’Olban veut la faire aller au couvent et il demande à Germon de rosser Philippe Hombert s’il se présente sur le chemin. Le comte d’Olban est triste. Il va devoir épouser la baronne de l’Orme. Il le prend comme une punition. La marquise d’Olban va marier Nanine et se retirer. Elle commence à comprendre que Nanine par sa beauté a fait des ravages peut-être même dans le cœur de son fils. Marin revient disant que tout sera prêt le lendemain soir. La marquise d’Olban fait la leçon à son fils car il laisse patienter un pauvre homme. Le paysan est en fait Philippe Hombert : père de Nanine. Le comte d’Olban se rend compte de son erreur et veut la réparer au plus vite. Il dit ce qu’il pense à la baronne de l’Orme qui n’apprécie pas. De quoi parle le comte d’Olban ? Nanine revient, elle embrasse la marquise d’Olban et son père. Le comte d’Olban lui demande d’obéir et donc de l’épouser. La marquise d’Olban, un peu surprise, donne tout de même son consentement. Le mariage aura lieu.

Publié dans 18e siècle

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Voltaire - Mahomet le prophète (18e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

Mahomet le prophète de Voltaire

Personnages principaux :

  • Mahomet
  • Zopire
  • Omar
  • Séïde
  • Palmire
  • Phanor

Résumé par actes

Acte 1 : Discussion entre Zopire et Phanor. Zopire n’aime pas Mahomet car il a apporté la guerre. Phanor lui conseille s’il ne veut pas perdre l’état de faire un effort vis-à-vis de Mahomet. Palmire demande à Zopire de la rendre à Mahomet qu’elle idolâtre. Zopire ne comprend pas : il lui offre la liberté, elle préfère l’esclavage. Il ne veut pas la rendre, elle lui est trop précieuse. Phanor annonce à Zopire l’arrivée d’Omar avec Séïde. Ceci étonne Zopire mais il accepte d’écouter Omar. Omar dit que Mahomet propose la paix. Cela énerve Zopire. Peu importe ce qu’Omar dit, Zopire le contredit et le voit en traître et Mahomet en criminel. Omar annonce que Mahomet lui-même veut venir. Direction le Sénat pour défendre leurs points de vue.

Acte 2 : Séïde et Palmire sont amoureux. Séïde est sûr que Mahomet va venir les libérer de leurs chaînes. Omar a gagné face au Sénat et face au peuple. Mahomet est dans la ville pour les sauver. Mahomet envoie ses hommes convertir le peuple. Il dit à Séïde et à Palmire qu’il les protègera toujours et il ajoute à l’attention de Palmire que la seule chose qu’elle doit craindre c’est Zopire. Mahomet est jaloux car il aime Palmire. Palmire et Séïde sont, en fait, les enfants de Zopire. Mahomet ne sait s’il doit se venger de cet amour ou l’attiser. Mahomet tente de convaincre Zopire. Il avoue être ambitieux. Zopire refuse jusqu’à ce qu’il apprend qu’il peut sauver ses enfants. Il est prêt à tout pour eux. Mahomet finit par une réplique effrayante qui ne présage rien de bon. Omar vient annoncer à Mahomet que le Sénat veut le faire assassiner. Mahomet veut faire tuer Zopire et Omar propose Séïde.

Acte 3 : Séïde laisse Palmire pour aller faire son serment à Dieu et tuer Zopire. Ils ont tous les deux des « sentiments » pour Zopire, ils ne le croient pas si ignobles mais ils respectent Mahomet. Palmire a un mauvais pressentiment. Elle dit craindre autant Zopire que Mahomet et qu’au fond d’elle, elle le déteste. Discussion entre Mahomet et Palmire. Elle lui redit son amour pour Séïde et sent par moment que cela le trouble. On la convainc de « forcer » Séïde à faire ce qu’il veut : ce qu’elle consent tout de suite. Mahomet est en colère d’être devenu malgré lui le confident de cet amour. Ces répliques ne présagent rien de bon. On dit à Mahomet que tout est prêt. Mahomet doute encore de Séïde mais Omar le rassure en lui disant que Séïde est tout à son Dieu. Mahomet dit à Séïde qu’il doit tuer Zopire. Celui-ci doute et Mahomet fait une longue tirade qu’il finit en disant qu’il brave Palmire s’il refuse. Séïde accepte mais Mahomet le fait « suivre » par Omar. Séïde a un peu d’hésitation mais comme tous les fanatiques : il va obéir en croyant bien faire. Zopire dit à Séïde qu’il veut le sauver. Plus Zopire parle, plus Séïde a des doutes car il se rend compte que Zopire n’est pas mauvais. Que va-t-il faire ? Zopire, dépité, décide de la suivre. Phanor apporte une lettre à Zopire grâce à laquelle il comprend pour Séïde et Palmire. Il a un rendez-vous secret avec un allié de Mahomet. Est-ce un piège ?

Acte 4 : Mahomet dit à Omar de tuer tous les défenseurs du sombre secret qui pourrait l’anéantir et de s’assurer que Séïde ne survive pas à son acte. Séïde doute de Mahomet mais pense qu’à travers lui, c’est son Dieu qui parle. Séïde dit à Palmire qu’il doute. Puis quand elle sait qu’il doit tuer Zopire pour avoir sa main, c’est elle qui doute. Il va tuer Zopire. Séïde a poignardé Zopire. Il s’en veut et accuse même Palmire de l’y avoir incité. Ils sont perdus. Il ne veut plus vivre. Zopire se relève pour blâmer Séïde. Phanor arrive trop tard. Il apprend à ses deux enfants qu’il est leur père. Séïde veut venger son père et se laisser mourir pour être puni. Mahomet fait récupérer Palmire et Séïde. Il va punir Séïde. Zopire est désespéré. Il veut qu’on sauve ses enfants.

Acte 5 : Mahomet fait venir son armée. Séïde est en prison. Omar dit à Mahomet que Séïde et Palmire ne savent pas pour Zopire. Omar lui dit aussi que Palmire est prête à tout pour sauver Séïde. Mahomet dit à Palmire de lui offrir son cœur. Elle lui crache son venin. Il comprend que son secret a été dévoilé. Omar dit à Mahomet que le peuple réclame vengeance et qu’à sa tête se trouve Séïde. Il a peur. Mahomet décide de tous les protéger. Séïde meurt du poison avant d’arriver à Mahomet qui se sert de cela pour faire peur au peuple. Palmire se tue sur le poignard de son frère. Mahomet s’en veut car il aimait mais il ne veut pas montrer qu’il est homme pour ne pas perdre son empire.

Publié dans 18e siècle

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Voltaire - Le café (18e siècle)

Publié le par litteratureetfrancais

Le café de Voltaire

Personnages principaux :

  • Fabrice
  • Lindane
  • Lord Monrose
  • Lord Murray
  • Polly
  • Freeport
  • Frélon
  • Lady Alton
  • André

Résumé par actes

Acte 1 : Frélon se plaint. Fabrice est inquiet pour lui car il a des ennemis. Il veut être introduit chez tout le monde. Arrivée de Lord Monrose. Il veut de la solitude. Quand Frélon lui propose ses services, celui-ci le voit mort. Pour Frélon, Lord Monrose n’aime pas la littérature. La jeune femme vertueuse est mystérieuse. Lord Monrose parle de vengeance. Il a tout perdu. Dans le café, tout le monde parle en même temps, personne ne s’écoute. C’est la cohue qui fait que Lord Monrose va manger dans sa chambre. Frélon tente d’être introduit chez la jeune femme mystérieuse. Polly refuse de l’introduire et de l’aimer. Elles cachent quelque chose. Frélon a pour but de tout découvrir. Lindane est la fille de Lord Monrose ? Personne ne doit savoir qui elle est. Elle a peur de Frélon. Elle attend Lord Murray qui est l’ennemi de son père. Fabrice est bon. Il tente de faire manger Lindane. Il pense que sa fortune est perdue. Elle le contredit. Qui est la femme qui les perturbe ? Lady Alton attrape Fabrice pour lui parler.

Acte 2 : Lady Alton dit que Lindane est une personne aux mœurs légères ce que contredit Fabrice. C’est une femme colérique. Lady Alton est jalouse. Lindane dit aimer puis ne pas aimer Lord Murray. A quoi joue-t-elle ? Est-ce ironique ? Lindane dit à Polly qu’elle va mourir. Frélon travaille pour le compte de lady Alton. Il sait que Lindane est écossaise et veut la faire passer pour une criminelle. Lady Alton se méfie de Frélon. Fabrice défend toujours Lindane. Il a l’air de l’apprécier mais il est marié. Arrivée de Freeport qui raconte un peu ses affaires. Fabrice lui parle des locataires. Freeport veut voir Lindane. Il n’accepte pas que Fabrice lui dise que c’est impossible. Freeport entre sans retenue, donne des sous à Lindane comme bonnes actions et ensuite lit son journal sans même les écouter. Lindane refuse ce qui rend Polly folle. Fabrice va garder l’argent pour aider Lindane. Lindane est déprimée, elle s’évanouit. Elle dit à Polly qu’elle devrait détester Lord Murray car il est la cause de ses soucis. Fabrice dit à Lord Monrose que Lindane s’est évanouie. Il ne s’y est pas intéressé. Il n’a réagi que quand il apprend qu’elle vient d’Ecosse.

Acte 3 : Lady Alton intercepte une lettre de Lord Murray à Lindane. Elle va agir en la faisant enlever si ses offres sont refusées. Lindane refuse la proposition de Lady Alton. Elle est mourante. Elle croit que Lord Murray l’a abandonnée. Lady Alton dit qu’elle reviendra. Lord Monrose apprend la mort de son seul ami et sa condamnation. Il décide de partir. Un message vient dans le but d’arrêter Lindane. Freeport se porte caution pour éviter qu’elle n’aille en prison. Fabrice parle de Lindane. Lord Monrose parle de lui. L’un veut épargner la douleur, l’autre veut partir. Cette arrestation touche beaucoup Lord Monrose. Lord Monrose commence à se demander si Lindane n’est pas sa fille. Il demande à Polly un « entretien ». Fabrice prévient Lord Monrose qu’on le cherche. Lord Monrose veut lui parler dans un lieu secret. Fabrice lui conseille de partir bien vite.

Acte 4 : Fabrice demande à Frélon de quitter le café c’est un fripon. Freeport veut absolument revoir Lindane. Lord Murray revient. Il parle d’abord à Fabrice pour savoir comment va Lindane puis à Frélon pour le remercier mais aussi le menacer. Lord Murray parle à Polly en disant qu’il va tout réparer. Il veut voir Lindane mais elle est avec Lord Monrose. Il se doute que ce « gentilhomme » est son père. Lady Alton surprend Lord Murray. Elle dit qu’elle sait tout et qu’elle a dévoilé ce secret. Qu’en est-il ? Polly a peur. Lord Murray part pour essayer d’arranger les affaires de Lindane. Lord Monrose avoue à Lindane qu’elle est sa fille. Elle apprend qu’il est là pour tuer Lord Murray. Elle décide de partir avec son père qui renonce à la vengeance. Lindane demande à Polly si elle est prête à la suivre. Polly lui dit qu’elle est aimée par Lord Murray mais elle veut quand même partir.

Acte 5 : Lindane annonce à Fabrice qu’elle part. Elle le remercie. Freeport ne demande qu’une chose : qu’elle lui écrive. Lord Murray arrive. Il a loué une maison. Freeport avoue avoir des « sentiments » pour Lindane sans dire qu’il l’aime. Il veut la voir partir. Lord Murray veut l’épouser, elle lui dit qu’elle part avec son père pour qu’il reste en vie. Lord Murray doit s’éloigner à la demande de Lindane. Lord Monrose est prêt. Lindane voudrait un peu de temps mais il lui fait comprendre qu’ils n’en ont pas. Freeport tente lui aussi de les faire rester. Lord Murray se montre. Lord Monrose veut d’abord le tuer mais reçoit sa réhabilitation. Lindane va pouvoir épouser Lord Murray.

Publié dans 18e siècle

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